Corpus Prévert
Par Junecooper • 28 Juin 2018 • 2 610 Mots (11 Pages) • 401 Vues
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La puissance supérieur de l'amour se montre par le fais qu'elle est victorieuse sur tout. Elle met de la couleur dans les endroits sombre et fais revenir la lumière. L'amour est décrit comme une réponse à tout problème de la vie. Elle réduirait même la mort à rien.
- L’amour un danger et les dangers de l'amour
- L'amour en danger
« Barbara », est un poème qui parle de l'amour d'une femme et d'un homme vue par un regard extérieur. Cet homme est partie faire la guerre. C'est un soldats, un « mort » qui marche vers la mort ».
« Et tu as couru vers lui sous la pluie », Barbara est amoureuse. La répétition des mots : « épanouie », « ravis », « ruisselante » est en opposition avec la pluie qui tombe continuellement sur Brest. Le vers 39 et 44 pose des question, émettant que cette jeune femme n'a pas de nouvelle de son bien aimé parce qu'il fait son service militaire. La pluie banal se transforme en « pluie de fer » puis en « feu d'acier de sang », les amoureux sont bien séparé par la guerre. Le dernier vers : « Dont il ne reste rien », l'amour est réduit à néant.
L'histoire que raconte le poème « La lessive » se déroule en été et malgré cela les feuilles tombent « comme si c'était l’automne », nous avons à faire à une mise en situation. La démarche de l'auteur est de nous faire prendre conscience que « les morts » entraîne la négativité dans leur entourage. En effet nous retrouvons le champs lexical de la mort selon Prévert : chef de famille, chef de bureau, baquet familial... Il impose leur autorité, leur pouvoir sur les autres comme il le dit au vers 15 « et répète sa formule favorite ». Cet homme se montre comme étant supérieur aux autre puisqu'il force les membres de sa famille à glousser « d'horreur et de honte ». « La porte est cadenassée », il cherche à réduire même les animaux (synonyme de jeunesse et de liberté) sous sa domination. De plus c'est sa femme et ses enfants qu'il méprise, des personnages que l'auteur considère comme non formaté, de se fais pur et prodigieux. On retrouve plusieurs fois l'idée de vieillesse. Ce sont eux aussi des morts aux yeux de Prévert car ils imposent leur croyances aux enfants. Ils sont en fin de vie et mène à la mort, c'est le contraire de l'enfant. « Le Saint-Esprit » rappelle les ecclésiastique qui sont considéré comme donnant des ordres, imposant des règles.
Jacques Prévert nous montre des menaces extérieures qui pèsent sur l'amour. Les taches domestiques de la vie quotidienne peuvent également entraver l'amour entre un homme et une femme. « Des lettres d'amour où il est question d'argent », cherche une satisfaction personnel. « Des lettres anonymes où il est question d'amour », provoque la jalousie du conjoint. Les lettres sont des facteurs qui peuvent émettre des tensions dans le couple. L'amour peut aussi faiblir dû à une situation familiale. Une dispute éclate au sujet de la jeune fille enceinte. L'énonciation sur l'honneur « L'honneur de la famille Honneur du père... », montre qu'il y a une image à préserver.
La femme de « Rue de Seine » à commis l'erreur d’insister auprès d'un homme concernant une vérité qu'elle a découvert. Étant donné qu'il est « coincé par ses promesses », il doit en rendre des comptes. La « machine à écrire des mots d'amour » peut laisser croire que c'était pour une autre femme car après cela il parle de « machine à souffrir ». Pierre à honte puisqu’il à « envie de partir... de disparaître... de mourir... », honte d'avoir été découvert dans une situation embarrassante. Il déclare la femme folle, pleine d’incertitude. Il en est perdu lui même.
Dans « Cet amour », on parle d'un amour d'un amour menacé. En effet, il est qualifier de « fragile », de « désespéré ». Au vers 8 on comprend qu'il vacille. « Mauvais comme le temps » est une comparaison qui détermine que l'amour varie d'un jour à un autre. « Tremblant de peur comme un enfant dans le noir » signifie qu'il est petit, faible. Le vers 24, évoque un amour blâmé, auquel on ne se préoccupe plus puisqu'on l'a « oublié ». Cet amour est cherché désespéramment à être sauvé. Effectivement, après avoir dis « Si violent », il dit « si tendre ». Ensuite, c'est un amour auquel il tiens car il en est émerveillé (vers 7-13). Après avoir énoncé des qualificatifs positifs tel que du vers 7 au 13, il déclare que c'est un amour dérisoire, ce qui créer un sentiment de déséquilibre. Beaucoup de contradictions sont prononcées : « Tremblant de peur comme un enfant dans le noir » puis,
« Et si sûr de lui » ou « Aussi tremblante qu’un oiseau » et « Aussi chaude aussi vivant que l’été ». Au vers 29 et 30, il y a une appropriation, l'amour est le leur, il cherche à sauver leur bien. Nous retrouvons une opposition « Rêver à la mort », l'homme veut oublier le mal qui s'abat sur lui. De part son expression, l'on retrouve le champs lexical de la mélancolie : mémoire, regrets, souvenirs... De plus, il « crie », il s'exclame d'une voix forte afin que sa femme l'entende. Il termine en suppliant l'amour de lui faire une faveur : « Tends-nous la main Et sauve nous ».
- Les dangers de l'amour
La répétition « Pour toi Mon amour » selon le poème « Pour toi mon amour » peut déboucher sur l'emprisonnement car il ne pense plus que par elle. « J'ai acheté », il dépense du temps de l’énergie sans maîtrise pour sa bien aimée ce qui peut entraîner l'asservissement.
« Je garderai toujours » et « Jusqu'à la fin de mes jours » sont deux expressions qui renvoie à l'idée d'éternité, un besoin sans fin qui devient de l'emprisonnement. « Et que j'ai enfermée » est un vers effrayant qui montre une dépendance sans mesure. Un acte qui découle d'un amour que l'on veut par tout moyen garder auprès de lui.
A chaque fin de strophe l'on retrouve le vers « Sans me parler », ce qui mène à provoque de la peine chez la qui aime l’autre. Effectivement, le fais d'être ignoré par la personne que l'on aime c'est laisser entendre qu'elle vit bien sans sa présence. Ce qui occasionne de la souffrance est une routine qui se déroule sans changement avec ou sans l’individu « invisible ».
Ce
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