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Commentaire Caligula : scène 4 dernier acte

Par   •  2 Mai 2018  •  969 Mots (4 Pages)  •  789 Vues

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je tend mes mains… toi en face de moi »

Ce comportement face à son double dans la glace concrétise bien sa folie .

2) Une fin tragique :

-L’égo de cet empereur se perçoit à travers son dialogue ave son double

Cosncient de l’approche de sa mort «  bruits d’armes .. triomphe »

Doute de sa condamnaation «  qui oserai me condamner …n’est innocent »

Exprime la peur sa peur et n’accepte pas le fait qu’il soit excécuté car il a tjr joué le réel du bourreau «  que ne suis-je à leur place »

Il veut garder sa place de tyran mais il sait que son sort est joué : sentiment de dégout «  quel dégout …. lacheté dans l’âme »

Il se méprise de sentir tel un humain avec sentiment de peur .

Ressentant son heure approcher il va exprimer sa haine pour son double c’est à dire pour lui même «  je suis pourvoi plein de haine » ( L.30) et il se remet en cause .

Le temps lui parait lourd «  cette nuit est lourde cm la douleur humaine » ( L.35-36) .

Lourdeur de l’obscurité de la nuit + lourdeur humaine : significatif d’une souffrance intérieur que Caligula cache car c’est une faiblesse même si son h approche

Enfin en l’espace de qlq lignes le sort de 2 personnage est réglé , Hélicon est poignardé par une main invisible ensuite l’empereur est est tué par le vieux Patricien qui le frappe dans le dos . Ensuite tous les autres patriciens le frappent , c’est justement la fin tragique d’un empereur qui a été préparé et a attendu sa propre mort sans réagir

Trouve le moyen de crier «  A l’histoire Caligula » voir même de rire , de râler ou de hurler pour finir par avoir le dernier mot «  Je suis encore vivant »

3) L’absurdité d’un tyran

-CAligula s’auto-accuse de ses faits et gestes

Reconnait sa défaite , il n’est pas arrivé a avoir la lune , encore moins l’amour et éprouve tel un humain des sentiments qu’il a tjr meps comme « la peur » ou « la douleur »

Il afffirme ouvertement cette quête de l’impossible «  je l’ai cherché aux limites du monde … moi meme » qui est suivi par une remise en cause «  je n’ai pas pris la voie qu’il fallait »

Reconnait l’absurdité de ses actes «  je n’aboutit à rien »

A travers «  ma liberté n’est pas la bonne » il affirme que toute son existence a été un «  rien! rien encore ! »

S’accroche à son immortalité qq. il crie «  a l’histoire caligula »

Portée ironique de la scène «  je suis encore vivant » met en évidence toute l’absurdité de la scène car nous savons que le vieux patricien lui a donné le coup fatal .

CONCLUSION

En définitive , ce monologue est révélateur de la monstruausité du personnage qui est paradoxalement humain à cause de sa souffrance

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