Beaumarchais, Le barbier de Séville

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→ Voc hyperbolique : hyperbole l.3 profaner (porte atteinte à qqch) ; l.37

Transition : Jubilat° de Beaumarchais qui s'amuse à parodier tout les ressorts de la tragédie mais de façon comique.

II- Une scène comique

Mise en scène du coup de théâtre

→ Registre pathétique (et dramatique) au début de la scène va être désamorcé avec révélat° de l'identité du Comte → coup de théâtre accompagné d'1 didascalie (l.23) → présente une scène d'1 jeu exagéré.

→ Coup de théâtre rappelle comédie Molière : dénouement où tt est compliqué mais tt redevient normal cô par magie mais ici ≠ car coup de théâtre n'est pas le dénouement : ne résout pas l'intrigue car péripéties pas terminées puisque le Comte va être enfermé dans cet pièce en attendant la police que Barthelo à appelé.

→ Il fait succéder des émot° ≠ : pathétique/coup de théâtre → surprise/tension → suspense maintenu : l.41 : enfermé/piégé.

2) Des personnages qui font sourire

→ Comte Almaviva : dès début : enthousiasme d'1 amoureux transit qui vient enlever sa belle → l.1 et d'1 coup la stupeur lorsque Rosine le repousse → l.2 => comique de situat° : quiproquo.

→ Rosine : émot° intense => s'évanouit => comique de geste → encore + comique réact° du Comte qui est effrayé ; demande même aide de Figaro → couard (peur) => comique de caractère (car perso noble a la base mais s'évanouit).

→ Elle fait aussi sourire car naïve → remarque enfantine : l.43 ou encore lorsqu'elle se réveille après s'être évanouit elle ne s'est + comment appelé Lindor → l.33 : mélange d'appellat° : source de comique.

→ Figaro : utilise voc populaire → Morbleu → utilisat° fait rire car contraste entre lui qui a des valeurs aristocratiques et ce voc populaire => comique de mot → l.32. Il permet aussi de donner de la légèreté à cette scène.Conclusion : Scène capital car clarifie les relat° entre Rosine et le Comte qui enfin révèle sa véritable identité mais cette scène d'aveu n'aboutit que à un dénouement partiel de cette intrigue.

Ouverture : Ce dénouement est inutile cô le titre de la pièce de Gérald Marty le prédit : la précaut° inutile puisqu'à la fin la victoire de l'amour triomphera car Rosine et le Comte vont se marier.