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A l'origine de la violence, Fabrice Humbert, 2003

Par   •  11 Septembre 2018  •  1 194 Mots (5 Pages)  •  549 Vues

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ont été produits il y a des années et que maintenant quand on voit les lieux du crime il est pour nous impossible d’imaginer une telle atrocité tant elle est horrible, de nos jours personne ne peut penser que cela a existé et ce qui est encore plus dure c’est de se dire qu’elle existe encore.

L’une des questions qui s’est le plus posé sur les sévices des réfugiés pendant cette guerre c’est pourquoi un tel sadisme et une telle violence gratuite ? Fabrice Humbert est hantait, cette violence lui échappe l’anaphore « pourquoi » aux lignes 30, 33, 36 et l’énumération de toutes les questions qu’elles soient rhétoriques ou non montrent le caractère obsessionnel de la quête pour comprendre ces faits « peut-on en effet concevoir un meurtrier professionnel ? Un homme plus féroce que toutes les bêtes ? Ces deux questions rhétoriques l8/9 montrent l’incompréhension, l’auteur se demande comment un humain qui est censé avoir un cœur peut commettre des faits aussi horribles. D’ailleurs sur le visage de cette homme on ne peut pas lire l’atrocité il pourrait être un monsieur tout le monde, « je ne parviens pas à voir le sceau du Mal sur le visage de Sommer »… rien sur ce visage ne crie « je suis un monstre », ceci montre qu’il n’est pas un monstre en apparence mais ce sont ces faits qui le démontrent l’utilisation du conditionnel l25/26 « s’il n’y avait pas ces deux hommes suspendus en face de lui, Martin Sommer ressemblerait plutôt à un ancien lutteur reconverti en militaire » montre que l’atrocité de cette homme est appuyé uniquement pas ces faits et non son physique ». De plus d’après l’auteur l44/45 « Martin Sommer ne fut pas toujours ce bourreau, ni avant ni après les faits » la question qui se pose donc est qu’est ce qui y’a poussé Sommer à commettre un tel crime. Selon les faits, Martin Sommer est un monstre on ne peut l’oublier le verbe souvenir l18 montre qu’il est gravé dans l’esprit de l’auteur et que même après des années ces faits sont gravés dans les esprits. L’hyperbole l29 « me hantent encore » et la répétition l43 « résonnent et résonnent encore » montre que les incompréhensions d’Humbert ne quitte pas son esprit. Cette incompréhension est souligné une fois de plus par le verbe comprendre dans une phrase négative 42 « tout cela, je ne le comprends pas ». La seule réponse qu’Humbert décide d’apporter à toutes ces questions sur la violence est que c’est le résultat du sadisme l42/43, que l’homme aime faire souffrir il y a en chacun une partie de bon et une partie du mal et chez certaines personnes la partie du mal s’explique uniquement par le plaisir de faire du mal, de faire souffrir. Pour ce récit il s’est inspiré de l’histoire d’Ilan Hamili qui lui aussi a été torturé pour des raisons fallacieuses.

Grâce à cette étude, nous avons pu découvrir que certains auteurs des sévices de la guerre en particulier Martin Sommer dans ce texte ont été des bourreaux infâmes, des fanatiques du sadisme et qui n’ont réalisés leurs crimes que par adoration. Nous avons pu nous remémorer à quel point les victimes ont subis des horreurs. Ce texte se rapproche beaucoup de l’histoire de « La Part de l’autre » d’Eric Emmanuel Schmitt car on peut voir que le SS Martin Sommer est désigné comme un monsieur tout le monde de part son physique et son passé comme Hitler mais de l’autre il est également considéré comme un tyran à cause de ses gestes tout comme Hitler.

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