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Byzance et la perse

Par   •  16 Janvier 2018  •  2 144 Mots (9 Pages)  •  525 Vues

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- La religion

En effet, la religion était un autre différents entre les Perses n’acceptaient pas la religion chrétienne des byzantins. Ils sont pour la plupart zoroastrien et lutte contre le christianisme. Le sac de Jérusalem en est l’exemple le plus choquant puisqu’un véritable massacre eu lieu dans la ville sainte des chrétiens. « Ils massacraient de petits enfants à même le sol, puis, …, ils appelaient les parents. Ceux qui étaient saisis arment à la main était massacrés. » (ligne 16 et 19). Les perses ont également détruis tout signe de chrétienté visible, « les églises brûlaient, d’autres étaient démolies, les autels majestueux renversés, des croix piétinée, etc. » (ligne 25). C’est une description forte, écrite par un chrétien, elle est donc surement amplifié, mais étant témoin des faits, Stratègos a surement vu certains de ces faits. On pourrait penser que les perses s’attaque à toute religion qui n’est pas là leurs, mais ils ont fait une alliance avec les Hébreux qui voulaient aussi boutaient les chrétiens hors de leurs villes. Alliance que ces derniers ont payée cher puisqu’ils sont « expulser de la cité sainte » par Héraclius ligne 42.

En résumé, plusieurs différents opposés les deux empires. Comme toutes puissances, chacune revendiquait sa suprématie par rapport à l’autre. Des conflits territoriales, religieux, des ruptures de traités, plusieurs événements ont conduits les deux nations à se faire la guerre tous les 30, 40 ans. D’où la nécessité de créer des moyens de protections.

II Comment se protéger

- Les barbares

Les royaumes barbares, petit royaume longeant les deux grands empires, étaient des moyens de protections et de danger en même temps. Ces royaumes ne faisaient allégeances à personne mais pouvait se rallier à l’un ou l’autre partie moyennant tribut. Ils ont souvent eu un rôle décisif dans les querelles entre les deux empires. Le premier document montre bien que les perses n’ont pas attaqués les romains car ils étaient en prises avec les Huns, ligne 8. Plus tard, se sont les romains qui feront alliance avec ces même Huns pour tenter de défaire les Perses. L’alliance la plus marquante avec les royaumes barbares fut celle mise en place entre les perses et les Avars en 626, qui arriveront jusqu’au porte de Constantinople sans pour autant la faire tomber.

Face à ces dangereux ennemis qui peuvent intervenir et attaquer à n’importe quel endroit de l’empire, des mesures de défenses permanentes doivent être mise en place. C’est la fortification des villes et l’édification des forteresses.

- Les forteresses

Anastase est l’emprereur qui a fortifié la ville de Dara est ainsi provoqué le couroux des perses à l’égard de l’empire romain. C’est cependant Justinien qui fortifie le plus l’empire romain comme le montre le premier document. Celui-ci, voulant absolument se tourner vers l’ouest, mais ne pouvant pas totalement montrer son dos à l’ennemi perse va bâtir un peu partout dans l’empire des forteresses gigantesques. La cité de Dara elle-même se révèle être une clé de la défense de l’empire. Si Dara tombe, c’est « une grande partie de l’Etat qui serait sérieusement secouée » (ligne 30). Justinien met alors à l’œuvre des nouvelles techniques de défense et de fortifications. Les meurtrières sont mises en place « petites fenêtres dans lesquelles seule une main pouvait passer »(ligne 34), des murs immenses « trente pieds de hauteur au mur » (ligne 36). Pour demander moins à ses soldats, Justinien couvrit l’empire entier de fortifications. C’est l’une des œuvres les plus considérables et utile de son règne. C’est par centaines qu’il fit réparer ou bâtir des ouvrages de la forteresse au château. Ces défenses étaient bien entendus plus dense à la frontière mais s’échelonnaient très loin en profondeur. Les bandes de barabres étaient obligés de contourner ses places qu’elles ne pouvaient assiéger. Chrosoès lui-même vient essayer les murailles de la ville de Dara tenu à ce moment par Bélissaire, un grand général sous Justinien, mais il se retirera contre un tribut ne pouvant prendre la ville (ligne 61). Ces fortifications était complétés par une diplomatie habile envers les barbares et les perses.

- Les traités de paix et tributs

Envers les barbares, l’empereur utilisés leurs vanités, et le prestige qu’il avait à leurs yeux pour leurs offrir des titres honorifiques et pour leurs payer des tributs afin qu’ils restent pacifique. Avec la perse l’empire romain a signé de nombreux traités avec des fois des énormes tributs qu’ils devaient versés aux perses.

III La dernière guerre perso byzantine

- La victoire penchant pour les Perses

- Le retournement de situation

- Les véritables résultats du conflit néfaste pour les deux partis.

Les affrontements entre les deux empires ont donc conduits à l’affaiblissement des deux partis. L’empire byzantin qui ressort comme le vainqueur final de plus de cent ans de guerre entre les deux empires, n’en reste pas moins faible de sa situation. L’armée est extrêmement faible en nombre, le territoire est beaucoup trop vaste pour une bonne protection de celle-ci. Les territoires européens, africains, ainsi que la Syrie, Palestine, sont extrêmement faibles et pour les derniers, sont ravagés par la guerre qui vient de finir. L’empire perse, en proie à une grave crise politique qui lui a coûté la victoire semble au bord du gouffre. Finalement, c’est l’empire arabe se formant qui va pousser le perse au fond de ce gouffre et s’emparer des provinces sur lesquels le byzantin ne peut plus instaurer son influence. Il est clairement établis que les victoires rapides et efficaces des arabes sont en partis du à la faiblesse de ces deux empires sortant de la guerre l’un contre l’autre. L’empire perse des Darius, Xerxes, Chosroès, disparait, et l’empire byzantin et repoussé jusqu’à Antioche.

Finalement, l’empire byzantin emplis de doute à partir de Justinien sur sa romanité ou non, trouvera à l’aide de ses défaites contre les arabes, une réponse pour la question de son identité, qui n’est plus romaine, mais bien greco-byzantine.

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