Les régions d'Europe
Par Christopher • 7 Juin 2018 • 8 382 Mots (34 Pages) • 474 Vues
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Cette aire est aussi forgée par l’esprit de conquête scientifique, les révolutions industrielles et transcende la diversité des peuples de cette partie du monde, l’idée d’une certaine parenté, d’une convergence, pourquoi on partage ceci ? -> parce qu’on a échangé précocement échanges ont favorisé la diffusion de valeurs, de pensées-> diffusion intellectuelle Avec tout ça se forge une conscience d’appartenir à une région particulière du monde avec sa propre âme (a eu?), sa singularité. Les peuples européens échangent davantage entre eux qu’avec le reste du monde, aujourd’hui encore. On peut faire l’hypothèse que l’emploi du mot Europe est le désir de vivre ensemble. Ce désir de vivre ensemble serait l’axe cardinale de la délimitation européenne. Ce qui donnerait sa cohérence à l’espace géographique européen, ça serait le partage de valeurs communes. Selon Jean-Luc Delpeuch, l’identité de l’Europe résiderait dans l’absence de limites, dans cette transgression permanente des frontières internes et externes.
Ces frontières ont été remis en cause récemment
Bibliographie : par mail
2. L’EUROPEANITE EN TENSION ENTRE L’UN ET LE MULTIPLE
=> 2.1 La tendance multiséculaire à la fragmentation politique
Différencier l’avoir de l’être. L’euopéanité est-il un ciment de l’Europe en tant qu’espace. Est-elle un dénominateur commun à l’Europe qui la compose. C’est un néologisme qui rend compte des traits qui est la marque propre des européens. Cette notion d’européanité représente un sentiment
d’appartenance à l’Europe. Autrement dit, la conscience d’être euorpéen. Ce sentiment se construit comme un amour de sa mère, de sa compagne... L’eupanéité est un facteur et un indicateur de territorialité.
La territorialité c’est le rapport individuel ou collectif à un territoire (espace approprié) , le rapport individuel ou collectif. C’est l’expression ,le vécu de ce processus pour un groupe s’approprie le territoire. La qualité de cette territrorialité dépend du mode de territorialisation.
Au regard de la diversité de la mosaïque européenne comment peut-on envisager l’Européanité par delà tant d’identités. L’extrême diversité de l’Europe participerait à son identité, à sa définition. => citation de Michel FOUCHET.
L’Europe existe car elle est EUROPES (pluriel)...c’est à dire pluriel. Le multiple est un élément de définition du UN et de ce qui nous réunit. Pour autant, il convient de discerner les éléments de diverité et en même temps de questionner les éléments de diversités LA dialectique, facteur d’unité et de morcelement est une constante de l’historie européenne. L’essence de l’Europe (Edgard Morin) serait d’être toujours en tension entre l’UN et le MULTIPLE. L’identité européenne est un mouvement des diversités vers l’unité et inversement.
Les fondamentaux de l’espace européen: L’étude paysagère est une des entrées géographique sont les paysages.
Le territoire européen est anciennement anthropisé et se singlarise par l’extrême morcelement d’Etat de surperficie petite et moyenne => carac de l’Europe. La juxtaposition d’Etat nombreux en un maillage serré sur un espace restreint serait un des facteurs de l’européanisation. Celà suscite des tensions, de la concurrence ou de la promiscuité, ça crée une effervescence , c’est stimulant. Entre 1990 et 2010 ce sont 24 nouveaux états qui sont apparus.
72% des 38 000 km de frontières internationales de l’Europe datent du 21ème siècle. 28% des frontières sont antérieures à ces dates. L’espace est l’u ndes plus couturé du monde avec l’Euope Centrale et Orientale en raison des nombreux conflits qui ont eu lieu là-bas. Depuis 1740, 600 grandes batailles et 160 guerres pour l’Europe au sens large. L’Europe est très couturé mais en même temps l’Europe est faite de consensus. Le thème de la frontière est un invariant de l’Europe. La diversité des états est à hiérarchiser selon 3 critères (superficie, densité, population). En matière de superficie c’est en Europe que la tailledes états est la plus petite sauf Russie, chypre et Malte, si on les excepte on a des superficies moyennes de 160 milliers de km², (550K pour la FRA) en Europe, 1,7 M en Amérique Latine. Aussi, l’éclatement des empires a crée des principautés, duchés, etc...autant de micro-états (1 à plus de 50 en matière de superficie). Pour la population, le rapport de 1 à 150. Pour la densité 1 à 350, moyenne 120 habitants au km² , 350 en Belgique et 114 en France.
=> 2.2 Complexité de la géographie culturelle
Fernand Brunelle, la culture est la seule langue commune de l’Europe. En Europe, on mise sur la civilisation pour monté un projet humaniste. On pourrait dire que l’écconomie est le moteur ou la langue commune de l’Europe. Au delà de ça on partage des valeurs humanistes en Europe, de liberté, d’égalité. Quels sont les empreintes philosophiques et religieuse en Europe. Il y a un prolongement/matrice grec, romain, un héritage judéo-chrétien, il y a une séparation entre l’église catholique et orthodoxe, il y a eu le shisme lutherien. Ces péripéties montrent que ça va de paire avec la construction de l’Europe. La laïcité est une interrogation philosophique qui marque l’identité de l’Europe. L’idée est qu’il y a eu aculturation des peuples européens, il y a unité !!!
Aculturation : processus par lequel un groupe d’être humain assimile tout ou partie des valeurs culturelles d’un autre groupe.
Pour la mosaïque religieuse, il y a Le catholicisme, l’orthodoxie, le protestantisme,l’islam et le judaïsme : => catholiscisme dominant en Europe Latine, Irlande, Pologne. => le protestantisme est dominant dans l’Europe du Nord, Nord de l’Allemange, Pays-Bas, Scandinavie, partie du Royaume Unie. => orthodoxie domine dans l’Est et le Sud-Est de l’Europe voire Balkan (Serbie). => l’Islam fort pratiqués dans les balkans, régions russes 15 millions de musumans dans l’Europe. => judaïsme minoritaire partout
Pour la mosaïque linguistique, il y a une 40aines de langues et 600 dialectes mais issu de souche lingustiques peu nombreuses de 3 grands ensembles : => les langues romanes et latines (base grec) => langues germaniques (base grec) => langues slaves (base grec) Ils y aussi des îlots résiduelles d’origine celtique, altaïque (basque) ou d’origine fino-hougrienne.
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