Les mémoires de la seconde guerre mondiale en France
Par Junecooper • 1 Novembre 2018 • 983 Mots (4 Pages) • 471 Vues
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D'une part le cinéma participe a la remise en cause des mémoires de la seconde guerre mondiale mais aussi au niveau politique on aperçois une loi , la loi gueyssot qui qualifie de délit la contestation de l’existence de crime contre l'humanité , c'est ainsi que l'on aperçoit en 1995 une reconnaissance de Jacques Chirac aux fautes passées de l'état français. La reconnaissance de l’état français commence par l'adverbe «oui» « oui , la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des français , par l’État français » ici il parle de l'état français qui aidé a la déportation des juifs de leur propre initiative durant l'occupation pour que les français aient un certains zèle d'oú la révolution pactionaire. Cette phrase est secondée par une autre phrase qui veut tout aussi dire la même chose « elle livrait ses protégés a leurs bourreaux » cela nous fait penser au moyens de transports qu'utilisé l'état français donc de la SNCF de la déportations des juifs du vélodrome d'hiver au camps d’exterminations.
D'autre part Jacques Chirac , dans ce discourt veut transmettre la mémoire du peuple juifs « transmettre la mémoire du peuple juif , des souffrances et des camps» en effet la mémoire juif a été longtemps occultés par le peuple et l'état français de même que les historiens qui travaillaient a ce sujet on reçu un très faible échos de la population de l'époque comme avec primo levi « si c'est un homme» de 1947 le peuple juif est poussé au silence ce que Anette Wieviorka appellera le grand silence. Jacques Chirac reconnaît aussi les souffrances que pouvais subir les juifs notamment avec les conditions terribles du vélodrome d'hiver , mais aussi les tortures comme le héro panthéoniser , jean moulin figure de la résistance et reconnaît aussi jusqu'à la fatalité des camps.
Enfin nous pouvons dire que se discours de Jacques Chirac révèle la mise en éveille des mémoires et donc de la responsabilité de l'état français de ses erreurs commissent.
en somme ces discours témoigne dans un premier temps une mémoire officielle partielle entre silence et oublie , les mémoires occultées. Ce n'est que dans les années 80/90 que l'état français accepte de confronter mémoire et histoire et de porter un regard plus responsable et plus juste sur sa participation à la seconde guerre mondiale. On pourra se demander à force d’être rabaissée par le récit d’un passé peu glorieux avec des mémoires négative par les différent président de la république est des commémorations qui ne met pas la France en valeur (commémoration 16 juillet 2017 par Emmanuel Macron du vel'd'hiv), la France ne doit elle pas craindre d’être détestée par une parti de ses propres citoyens ?
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