Travail numéro 1 adm 1015
Par Matt • 18 Octobre 2018 • 2 362 Mots (10 Pages) • 503 Vues
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L’angle microscopique touche à l’identité même de l’entreprise dans le sens de ce qui la rend unique, ses propriétés positives et négatives. C’est qui compose l’organisation[6]. Il explique ce qu’elle est au niveau technologique, financier, matériel ainsi que humainement, quel type d’employé font partie de l’entreprise. Il expose également la vision de l’entreprise.
En ce qui concerne mon environnement interne sous l’angle microscopique, je dois évaluer comment mon entreprise pourrait réussir dans un marché donné. Pour ce faire, je me dois de jauger quels sont les forces et les compétences particulières qui en font partie : Quels sont les habiletés que je pourrais mettre à profit afin d’aller de l’avant? Ainsi que les déficiences que je dois déterminer, c’est-à-dire identifier les inconvénients ou les faiblesses afin de les anticiper ou de les mettre en contingence afin d’avoir un plan B le cas échéant.
Il y a effectivement un lien entre cette perspective et l’adaptation de la stratégie de GRH à l’environnement interne, car j’engagerais des talents qui ont les mêmes valeurs que mon entreprise et les compétences nécessaires à l’accomplissement de la stratégie d’affaire. En clair, les acteurs sont déterminants dans mes décisions de gestion. Les bons acteurs à la bonne place, font en sorte d’avoir le casting plus fort et mieux exploiter les forces de ces derniers.
En tant que professionnelle des ressources humaines, je me dois d’être à l’écoute des ressources humaines et de les encourager. Je me dois de les mettre perfectionner régulièrement afin qu’ils soient toujours compétents, par de petites formations. Je dois les motiver, travailler à éveiller leur sens de l’engagement envers l’organisation en offrant des chances d’avancement et de les impliquer en les responsabilisant. Le gestionnaire doit leur donner accès aux technologies disponibles afin que les employés mettent à profit leur talent. Ainsi, selon la perspective de valeur ajoutée, une bonne gestion des ressources est un gage d’investissement des talents dans l’entreprise et par le fait est une garantie de plus vers le succès[7].
Bref, le professionnel des ressources humaines a pour mission de trouver le personnel nécessaire, compétent et motivé pour le bon fonctionnement de l’organisation[8].
Il est un guide pour le dirigeant puisqu’il connait les talents et leurs ressources disponibles Par exemple, je pourrais adapter la stratégie d’embauche comme les critères de sélections pour arriver à la stratégie d’affaire avec le bon candidat.
Question 3
Tout d’abord, je tiens à spécifier que les tactiques d’affaires doivent cohérentes avec les politiques et les valeurs de l’entreprise. Elles sont dépendantes des stratégies retenues et du plan d’affaires[9]. Elle se définisse comme étant le « Qu’allons-nous faire concrètement demain pour atteindre l’objectif? [10]».
Ceci dit, les tactiques d’affaires efficaces sont essentielles afin d’ajouter une valeur ajoutée à l’organisation. Elles permettront sans doute de se doter de règles et de méthode de gestion afin d’être mieux outillé pour prendre des décisions relative à la gestion des ressources humaines.
Le développement des tactiques d’affaires est un atout stratégique, car permet à une entreprise de se différencier des autres organisations et d’être favorisé par la clientèle. La valeur ajoutée est ce qui motive les clients à choisir notre entreprise plutôt qu’une autre parce que les qualifications et les connaissances des talents ne se retrouvent pas ailleurs. « Les ressources humaines sont au cœur de la stratégie d'entreprise pour lui amener une valeur ajoutée face à la concurrence[11]» donc, le professionnel RH qui a choisi les bonnes tactiques qui découlent de la stratégie d’affaire aura ainsi aligné la gestion des ressources humaines sur les valeurs de l’organisation. C’est important car, la clientèle s’interroge de plus en plus sur les politiques et valeurs que prônent une entreprise, alors une bonne gestion des ressources permet de mettre en confiance la clientèle et de motiver les employés. Comme le fait mention l’article de Primeau[12] : l’image d’une organisation sert aussi à mobiliser ses employés. Ils veulent être fiers des produits offerts. Cette fierté développe le sentiment d’appartenance envers son employeur qui a de bonnes valeurs de gestion.
Concrètement, pour de mettre en branle le plan tactique, le gestionnaire appliquera une gestion des ressources humaines fructueuse en embauchant des gens avec les compétences requises ou formera les employés afin qu’ils acquièrent les connaissances voulues pour parvenir à l’objectif. Une ressource humaine qui se sent qualifié est plus satisfaite et cela peut être favorable à son sentiment d’engagement envers l’organisation. Cette même ressource offrira une meilleure qualité de service ce qui accentuera la satisfaction du client et qui contribue à la valeur ajoutée.
De plus, les éléments qui définissent la tactique d’affaires sont facilement modifiables selon les réactions de la clientèle[13]. Comme elles sont des actions directes avec le consommateur, les démarches permettent aisément de déterminer si l’organisation se dirige vers un succès ou pas. Le professionnel des ressources humaines pourra alors changer de tactique, choisir un autre mode d’action pour accomplir la stratégie d’affaire et la mission de l’entreprise.
Question 4
Pour résumé les propos de Madame Codsi[14], un partenaire influent doit bâtir sa crédibilité. Pour se faire, il doit être non seulement qualifié, mais être vu comme tel. Il doit avoir quelques qualités cibles tel que la bonne écoute et le courage. Il doit avoir également une approche et un rôle de partenaire, c’est-à-dire, il est un guide. Il n’oblige pas, mais propose et évalue la situation selon son savoir-faire. S’il n’est pas un généraliste, il doit avoir un bon réseau, savoir faire des liens entre les différents programmes RH. Il doit avoir le courage de prendre des décisions et d’assumer les conséquences de ses décisions tant positivement que négativement. Il a la responsabilité de diriger le programme afin que ce dernier colle au plan d’affaire qu’il connait, car il pose des questions et s’en intéresse. Il a posé un diagnostic et met en route des actions. Par exemple, il s’interrogera sur quel type de compétence veut-on afin de réaliser le plan d’affaire. Il doit surtout établir des priorités dans les choix
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