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Synthèse sur la génétique et l'eugénisme

Par   •  18 Octobre 2018  •  1 260 Mots (6 Pages)  •  444 Vues

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Les sociétés sont très divisées sur les questions de bioéthique. Avec des sociétés aussi diversifiées la résistance à ces techniques de la part des milieux conservateurs est attendue : L’Eglise catholique, ou les militants anti-avortement tient à rappeler G. Charles. Le monde scientifique est lui- même divisé car chercheurs et médecins ne sont pas d’accord entre eux : R. Frydman lui est très largement favorable au développement de ces techniques. Au contraire du biologiste J. Testart qui craint l’eugénisme. Des médecins sont d’ailleurs rejoint les protestations des militants anti-avortement en Grande-Bretagne constate G. Charles. G. Charles tient à signaler que de nombreux comités d’éthique s’interrogent sur ces pratiques : comme l’association londonienne de bioéthique Comment on Reproductive Ethic ou plus simplement Core.

Les craintes de dérives eugénistes sont présentes et un consensus sur ces pratiques est difficile à trouver.

Les pratiques sont encadrées.

Les pratiques sont encadrées comme en Europe. En Grande-Bretagne un organisme est chargé de se prononcer sur les pratiques de procréation médicalement assistée et sur les recherches sur l’embryon comme le souligne G. Charles en parlant de Human Fertilization and Embryologie Authority. Il rappelle aussi qu’en France des lois de bioéthique encadrent les pratiques, la première loi datant de 1994 et la seconde de 2004. R. Frydman quant à lui laisse entendre que cet encadrement est parfois contesté au nom du progrès scientifique.

Les lois s’assouplissent au fil du temps. Mais on peut constater que les lois évoluent vers un sens plus permissif en Grande-Bretagne comme en France. G. Charles confirme en Grande-Bretagne que les lois s’assouplissent par l’intermédiaire de Joséphine Quintavalles, responsable de Core qui note l’évolution conduisant de l’utilisation thérapeutique du DPI pour éviter des maladies incurables, à une utilisation plus souple, susceptible de se rapprocher d’une médecine de confort. Une évolution similaire s’est déroulée en France entre 1994 et 2004 avec l’autorisation du DPI pour éviter le risque de chorée de Huntington et pour le bébé-médicament fait remarquer toujours G. Charles.

Des lois encadrent l’utilisation des biotechnologies et les recherches. Elles évoluent au fil du temps. Les débats sont vifs dans la société et le consensus est difficile à trouver.

Les avancées de la génétique laissent attendre de grand progrès dans les soins de nombreuses maladies actuellement incurable. Mais, encore de nombreuses voix s’y opposent de peur de voir une société eugéniste apparaitre. Pour autant d’après de nombreux médecins, il ne faut pas en avoir peur ; t’en que ces pratiques sont encadrées. Et cela malgré le fait qu’eux-mêmes soient divisés à ce sujet et que certaines lois empêchent de progresser aussi vite qu’ils le voudraient. On peut donc conclure que la génétique va encore progresser d’ici quelques années et qu’elle sera bien encadrée.

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