Molière un écrivain du 17 éme siècle

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Dernièrement on pourrait parler d’un comique de caractère avec les parents qui sont très naïfs car eux très distingués, ne peuvent penser que leur fille soit infidèle au mari qu’ils ont choisit de lui donner. Ils sont très fière aussi d’avoir cette fille à l’honneur et au courage fort car dans l’extrait donné on a le passage ou ils l’embrasse car elle vient de faire preuve d’un courage, en tapant soit disant Clitandre, ce qui est une force dans les familles. On voit dès le début du livre qu’ils sont très audacieux et qu’ils ne supportent pas que l’on s’en prenne à leur famille et surtout à leur fille. A chaque mensonge de la fille aux parents, ils la croient sans aucun doute et c’est toujours le mari qui en pâti.

Pour conclure, ce passage et très comique car on a ce mari qui est toujours piégé par sa femme qui le trompe avec Clitandre, chaque fois qu’il essaye de prouver la vérité a sa belle famille il est de nouveaux trompé par une ruse de cette dernière. Molière sait marier le comique de situation et le comique de parole pour qu’une fois encore ce pauvre George soit la victime. Comme le montre cet extrait très marrant, au début on aurait pu croire qu’Angélique ne s’en sorte pas et soit démasquée par le mari et les parents mais elle finit par s’en sortir grâce à une nouvelle ruse. Les parents dupes y croient. De plus le pauvre mari est victime des coups que sa femme lui inflige alors qu’elle faisait croire qu’elle tapait Clitandre. Quand aux personnages on pourrait dire que les Sotenville, Angélique et Clitandre sont cruelles envers George dandin mais c’est ce qui fait tous le comique de cet extrait.