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La psychopathologie

Par   •  31 Août 2018  •  2 549 Mots (11 Pages)  •  361 Vues

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Depuis quelques années on a une tendance qui consiste a appliquer le courant expérimentaliste a des résultats qui appartiennent au courant psychodynamique c’est-à-dire psychanalytique. Il s’agit du cognitivisme qui est donc une application de l’expérimentalisme a la psychodynamique .

La question des courants psychanalytique/psychodynamique qui est donc ce qui met en avant la démarche clinique.

Il s’agit de théorie qui suppose que soit a l’œuvre dans l’esprit humain, divers types d’antinomie ou de conflit. Il s’agit de divers pathologie qui rend difficile une observation non implicante ou une quantification direct des phénomènes. Freud a développé l’observation participante dans sa théorie du transfert.

Le domaine psychanalityque et psychodynamique a fournit les données les plus interessantes pour la psychopathologie contemporaine.

Dans la mesure ou il n’est pas mis en avant par des stratégies commerciales, il n’apparait donc pas au niveau médiatique.

Ce courant a génerer la plupart des formes de psychothérapies misent en œuvre actuellement. Puisqu’en effet la plupart des thérapies viennent de la méthode freudienne, de l’association libre. Selon les pays ce courant c’est appuyé sur des conceptions locales de l’individu.

Aux USA la psychanalyse n’est pas la même qu’içi elle est orientée vers la conception de la réussite individuel alors qu’en françe c’est plus sur le fait du rapport angoissant avec l’objet et du fait que le symptome traité fait l’individu et ne peut pas vraiment disparaitre.

Dans ce troisième courant il y a 2 grands courants :

- Les travaux qui insitents sur la forçe du moi, avec l’idée que ce serait la faiblesse du moi qui determinerait les troubles psychopathologiques.

- Du côté françe ce sont des travaux qui insistent sur la division subjective structural et la relation d’objet.

La division subjective : qui s’oppose a une conception du moi synthétique et unifié, ça va être la division entre pensée consciente et inconsciente ou bien division du sujet entre la pulsion et l’idéal du moi. Ou division entre langage et corps, l’idée étant que les phénomènes de la psychopathologie n’existe que parceque le sujet à un corps et ce sphénomènes vont être vues comme l’univers du sujet impact son coprs. Dans les entretiens cliniques les sujets parles des phénomènes du corps (frustation), on ressent sa pensée avec son corps. Via le transfert ce courant va traduire tout ça. Ce courant de penser considère qu’il y a différentes manières d’être divisé.

Il y a différentes modalités parlaquelle la questiond e la division subjective va se poser et ce sont ces 3 modalités qui vont poser les 3 grandes structures : Névroses, psychoses, perversions.

Avec l’idée qu’il y a pas de DS dans la psychose mais dans la névrose et la perversion oui. Se rejet dans la psychose fait partie ds mécanismes psychopathologiques dvlp par ce courant.

Dans la névrose : Il peut s’agir d symptomes stériques ou obsessionnels qui ont unesignifications cachés. Et Cette idée vient reprendre cette sorte de synonyme.

Les domaines de la psychopathologie, on en distingue 3 :

- Les troubles determinées par une lésion organique probable : certaines démances, les aphasies. (il faut être attentif a ce que ces troubles peuvent être masqués par des réactions d’allure dépressive) cad qu’il ne faut pas sous estimer l’importance des ces troubles orgnaniques. SI un sujet est déprimé ce n’est pas que par des causes psychodynamique, il ne s’agirait pas de croire que la perspective psychopathologique.. viendrait tout dire

- Les troubles déterminés par une intoxication prouvable, nottament dans le cadre d’addiction, de médication..

- Les troubles qui ne relèvent ni de ces deux derniers et qui donc relève d’une causalité psychodynamique (existence..) ce répartissent en névrose, psychose ou perversion et dans les faits c’est à ces derniers troubles que ce consacre la démarche clinqiue orientée vers la psychanalyse.

Les symptômes dna sla démarche cliniqe : ils sont rarements directements exprimés, ils sont le plus souvent désignés par alusion voir cachés. Leur signification n’est pas accessbible immédiatement

Quand il y en a ils sont pas dévoilés explicitement, il faut un certain temps pour les comprendreParfois il n’y a pas de symptôme apparant quand ce sont l’inhibition (incapacité à dire ses symptôems) et l’agir qui viennent au premier plan au premier plan.

Les symptôems à la fois, veulent dire quelque chose qui ne va pas et on aussi une signification pour le patient.

- Il faut repérer le processus qui le cause, un symptôme peut être du à une lésion organique ou a des causalités différentes, dans les 2 cas le processus du symptôme sera différente, question de causalité. La notion de symptôme présuposse celle de plainte, de demande envers l’impunition, demande de thérapie. Cependant, souvent la demande n’est pas explicite et le symptôme n’est pas présenté directement par le patient. La difficulté de dévoiler le symptome se situe entre l’inhibition et ..

Dans l’inhibition le sujet se tient a l’écart de tout ce qui peut lui rappeler la problématique qui lui est insupportable équivalent de l’inhibition : freud ‘’la névrose d’échèque’’ le sujet entame certaines démarches mais c’est dans l’après coup qu’il réalise son inhbition.

Les syndrômes qui sont des regroupements fréquents de symptôme se voyant en général attribués une signification sociale voir d’étiquettage. Par exmeple le syndrôme d’anorexie mentale qui regroupe plsrs symptômes.

Ensuite, les structures psychopathologiques, névroses psychoses ou perversions. Différencié syndrome et structure.

La position subjective, cad la modalité d’instalation du sujet dans sa structure et la marge de manœuvre qu’il va pouvoir avoir dans cette même structure.

L’idée étant que chaque sujet s’inscrit dans chaque structure mais n’a pas tout le temps la même manœuvre. Il es tpossible d’améliorer la position du sujet dans sa strcture afin qu’il ne souffre moi. L’usage de la parole dans les entretiens

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