La nouvelle théorie du commerce international
Par Ninoka • 16 Octobre 2018 • 7 158 Mots (29 Pages) • 539 Vues
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Stratégie de fragmentation de la chaine de valeur de telle façon qu’on a une DIT ou se greffe maintenant une DIPP.
S’ajoute a la compétitivité (qui est la part de marché) donc parler de compétitivité national n’a aucun sens.
Porter, désormais et compte tenu du capital technologique on parle d’avantage concurrentiel des nations.
Exemple 1 sur Boeing. Réacteur produits USA et tout le reste = importé.
Hummels = spécialisation désormais verticale.
Commerce intra branche produits similaire = 55 % commerce international et même si elle décline le flux bilatéraux occupe la majeur partie de l’échange de produits. Sous l’effet international processus productifs. DIPP Et DIP que décrivent certains auteurs comme la « courbe du sourire ».
Milieu de la filière ou processus productif, la valeur ajoutée est moindre et a l’extrémité du processus productif = activité de commercialisation, distribution. Essentiel de la valeur ajouté par conséquent l’enjeux des nations concurrences internationales et capacité pour un pays non pas d’intégré toute la filière de production mais surtout de veiller sur son territoire se localise activité les plus productrices en valeur ajouté. Ce qui change aujourd’hui est la mobilité du capital et HOS et Ricardo raisonne essentiellement dans le cadre d’une économie national ou seuls les biens circulent.
Hummels = spécialisation verticale = avantage comparatif sur un segment ou sur un stade d’un produits. La production d’un bien suit un processus séquentiel. Lorsqu’au moins 2 pays participent au processus et au moins un pays importe des consommations intermédiaires pour la production des biens qu’il exporte.
Multiplication des flux commerciaux et nécéssité de pensé différemment flux commerciale et construction nationale des avantages comparatifs
1.2 Problématique de la nouvelle théorie
- Article de P.R Krugman (1979)
- « Increasing returns, monopolistic competition and international trade » journal of international Economics November vol 9.
A travers cet article la compréhension de la spécialisation se situe ou nécessite de mobiliser 3 corpus théorique différents.
- Mise en relation commerce international, rendements croissants et concurrence monopolistiques
- Articulation de 3 champs d’analyse
- Economie internationale
- Economie industrielle
- Economie géographique
Economie géographique en dehors des couts de transports. Economie international devient un espace constitué et la globalisation va être porteuse également de transformation et ajustement géographique (modèle centre et périphérie) permet comprendre phénomène comme silicon valley. Globalisation va être porteuse de transformation géographique. Un économie ouverte va connaitre ce type de phénomène.
Questionnement : Pourquoi malgré des couts, des dotations factorielles et des niveaux de développement technologique similaires des pays échangeant ?
- Quel est le fondement et quels sont les gains que retirent des pays identiques à l’échange ?
- Pourquoi des pays similaires échangent ils des produits similaires ?
Prix nationaux différents des prix mondiaux. A partir du moment où techno comparable…etc. qu’est ce qui explique la différence des prix relatifs au niveau international, le programme de recherche …etc. la problématique que ce pose les auteurs. Ils vont être amené a changer hypothèse concurrence parfaite par l’hypothèse de concurrence imparfaite.
1.2 La problématique de la NTCI
- La principale caractéristique de ce renouvellement l’abandon de l’hypothèse de concurrence parfaite et son remplacement par l’hypothèse d’imperfection de la concurrence.
- L’imperfection de la concurrence est associée dans la plupart des cas à :
- La prise en compte des rendements d’échelle croissants
- La différenciation des pays
- Objet de la NTCI :
- Expliquer le commerce international entre pays similaires
- Compléter les théories fondées sur l’hétérogénéité entre pays par des théories mettant en avant l’homogénéité des pays
- Commerce de complémentarité → commerce de concurrence.
Section 2 : commerce international et économies d’echelles
2. Commerce international et économies d’échelle
- Proposition centrale : la présence d’économies d’échelle influence les conditions de la spécialisation et peut être à l’origine de gains à l’échange (ne dépendent pas de la structure des couts ou dotations factorielles)
- 2 types d’économies d’échelles : externe et internes :
- Externe : c’est celle qui est possible de réaliser au niveau d’une branche industrielle, industrie dans son ensemble, elles sont généralement liés à la taille du marché
- les économies d’échelle interne c’est celle qui sont propres à une firme, lié au fait qu’lle est plus efficace que les autres en matières de production ou efficacité supérieur dans son système de production
CF SCHEMA
A partir de types économies échelles il y a 2 facteurs explicatifs du commerce international.
Economie d’échelle, point de vue éco = lien entre quantité produite et le cout moyen. Rapport inverse.
[pic 2]
P.SRAFA en 1927 sur la courbe des couts, courbe théorique le point le + bas = zone économie échelles [pic 3][pic 4][pic 5]
Il y a économie échelles dans la production lorsque la fonction de production a des
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