ECOLE
Par Andrea • 17 Octobre 2017 • 1 199 Mots (5 Pages) • 598 Vues
...
Par exemple, l'idée de travailler sur la réussite et non l'échec pourrait être une solution. Actuellement, l'école évalue en fonction de ce que l'on ne sais pas faire, mais il faudrait faire une évaluation en fonction de ce que l'on sait. Cela permettrait d'aider les élèves en difficultés.
Il faudrait aussi faire en sorte que l’école soit un lieu apaisé, de non violence, ou chaque personne se sentirait bien. Bien sur, la règle du plus fort n'est pas obligatoirement présente dans toute les cours (que ce soit dans les cours d'école ou celles du lycée) mais il faudrait quand même essayer de réduire les violences. On peut constater dans les cours de collège, par exemple, plusieurs formes de violences, autant physique que verbales : racket, insultes, violence gratuite, bizutage etc ..
Dans les cours de lycée, il y a moins de violence directe, mais elle reste présente : certains groupes se créent, en raison de leurs différences, plus ou moins acceptées par les autres, et donc subissent une certaine forme d'exclusion (lieux dédiés à ce groupe, difficultés d’intégrations, amenant souvent la peur des autres, qui peut en dernier recours se traduire par des troubles tels que la phobie scolaire.)
[Une autre idée assez innovante serait de mettre deux profs par classe, un prof qui fait le cours et un qui accompagne, cela permettrait de mettre à égalité tous les élèves, autant ceux qui sont plus lents que ceux qui avancent plus vite.]
Pour répondre à la question des inégalités sur le travail, l’Éducation Nationale avait proposé un programme dans lequel les élèves de l'école primaire n'auraient plus de devoirs, donc moins d'écarts entre deux élèves d'un même niveau et donc cela permettrait de travailler ensemble, en classe.
Cependant, la gestion des emplois du temps ainsi que des stages restent des questions importantes sur lesquelles nous devons nous pencher.
Les stages pourraient en effet être facultatifs en 1 et T car c’est à ce moment précis qu’on se cherche sur notre orientation. Et souvent, les élèves de 4°, 3° ou 2° ne comprennent pas vraiment l'utilité de leur stages et finissent souvent dans les milieux professionnels de leur parents.
Mettre des stages facultatifs en 1° et T° permettraient à ceux qui se posent des questions de passer un petit peu de temps dans les milieux qui les intéressent.
Mais l’État reste très important, il met en place plusieurs moyens afin de réduire ces inégalités : il essaye de donner la priorité au primaire, essaie d'améliorer le rythme scolaire, amène le numérique au sein des établissements et lutte contre le décrochage (notamment avec le lycée de la 2nd chance).
Depuis 2014, de nouveaux programmes sont mis en place au sein de l'éducation et l’État met l'accent sur « l'éducation prioritaire ».
CCL : Il nous faut donc redonner du sens à l’école.
On voit notamment la réapparition depuis quelque temps de l'éducation nouvelle et de la révolution du numérique.
Pour conclure, on pourrait faire référence au pays tel que l'Islam où les femmes n’ont pas le droit d'aller à l'école, car les hommes ont peur de ce qu’elles pourraient y apprendre. Elles y développeraient un esprit critique qui leur permettraient de se faire une opinion et donc peut être, de se rebeller contre l’opinion qu’on leur impose.
ANNEXE :
SITES :
- L’observatoire des inégalités
- Site du gouvernement
...