Culture générale et expression

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Il fallait donc déplacer les meubles tout en respectant la règle fondamentale : marché uniquement sur les dalles disposé au sol.

Les meubles étant lourds, les hommes portent la table en essayant tant bien que mal de ne pas toucher la pelouse, et les femmes porte les chaises. Malheureusement, la table étant grande, nos héros ont du mal a trouvé un nouvel emplacement pour le mobilier, ce qui démontre bien que la notion adaptabilité et de réactivité a des limites.

Les deux œuvres s’opposent donc, car l’essai nous explique que les objets modernes sont étudié pour faire face et réagir a diverse situation au plus vite (léger, mobilité, adaptabilité etc.) et dans le film de Jacques Tati, quand nos protagonistes doivent réagir rapidement avec le mobilier moderne, c’est assez problématiques.

- La pollution (ou envahissement) de l’espace

En effet, le thème de la « pollution » de « l’espace » est présent dans l’Essai de Gilles LIPOVETSKY et dans le film « Mon oncle » de Jacques Tati.

En effet, dans L’essai sur la société d’hyperconsommation on nous explique qu’« on ne compte plus les produits qui, au travers des matériaux utilisés, des modes de fermeture et des emballages veulent créer des sensations tactiles, sonores, ou olfactives. » On assiste donc la a une véritable pollution de l’espace.

Notre attention est constamment requise, nos sens constamment en alerte, puisque qu’émoustillais par un tas de stimuli.

Et dans le film de Jacques Tati, ont peut dire en effet que cette pollution de l’espace est omni présente. Chaque objet a un bruit attitré. On est affubler de bruts en tout genre, très irritant pour la plupart, que ce soit le portail, la fontaine, les chaises…

Par exemple, dès le générique le ton est donné. En effet, pendant le générique, on peut entendre un bruit de pelleteuse électrique tout le long.

C’est lourds de sens, car le film oppose deux mondes : un mondes ultra moderne est envahis d’objets, et un mondes sans objets. Commencer le film par un bruit aussi désagréable marque la position du réalisateur entre ces deux univers.

Les documents du corpus convergent donc, puisque out deux dénonces un envahissement de l’espace.

- La modernisation et les conséquences sur les relations.

On constate que le thème de la modernisation est présent dans les 2 documents qui composent le corpus.

En effet, dans l’Essai de Gilles LIPOVETSKY, on nous explique que « Lorsque la modernisation n’a plus à combattre les éléments issus de la culture traditionnelle, l’ambition du design n’est plus tant d’ériger les symboles de modernité triomphale qu’un environnement accueillant et réconfortant »

Cela veut donc dire que les objets ayant été perfectionné grâce a la modernisation de notre société contribue forcement à créer un environnement accueillant.

Or, dans le film de Jacques Tati, « Mon oncle », le portail de la villa Arper (qui est un élément issue de la culture traditionnel) est un portail électrique. Il a donc été perfectionné pour sois disant contribué à créer une atmosphère accueillante. Or, le film démontre très clairement que les objets automatiques fuient et encrasse les relations humaines et ne contribue donc pas à l’atmosphère accueillante et réconfortante. Au contraire.

Les 2 documents sont donc en opposition.