Before the shot
Par Junecooper • 2 Novembre 2018 • 911 Mots (4 Pages) • 529 Vues
...
un cabinet médical typique des années 50, en présence de 2 personnages. On peut noter qu’ancun des 2 ne nous regarde, ce qui rajoute du réalisme.Le médecin, le docteur Donald Campbell nous tourne le dos, on le reconnait à sa blouse blanche et à l’oppération qu’il éffectue.
Au premier plan, une chaise en bois dont on ne voit qu’une partie. Le fait que nous ne la voyons pas en entier, nous donne l’illusion que nous sommes nous aussi à l’intérieur du cabinet médical, peut être en tant qu’accompagnateur de l’enfant.
Au second plan, un petit garçon âgé de 6, 7 ans nommé Eddie LOCKE, se tient debout sur une chaise. Il a le pantalon à moitié baissé sur les fesses, qu’il retient de ses deux mains. Il lit un des nombreux cadres accrochés aux murs de la pièce. Vêtu d’un tricot blanc, le reste de ses vêtements est sur le dossier de la chaise, sur l’assise, ou éparpillé sur le sol. On y distingue notamment une casquette fourrée, une écharpe et des gants qui nous indique qu’on se trouve en période d’hiver. Ce désordre rend la scène d’autant plus vivante.
Au dernier plan, le docteur, Donald CAMPBEL, nous tourne le dos. Celui-ci, en blouse de travail, et en train de préparer le vaccin. Sur la commode devant lui, on aperçoit tout son matériel médical, ainsi qu’une balance qui se dresse au fond de la pièce.
On constate que la scène se déroule dans une atmosphère calme, ce qui participe au message de faire vacciner les enfants en rassurant les parents.
La lumière vient de la fenêtre située en haut à gauche de la peinture. Les lignes de fuite comme celles du dallage ou de l’alignement des chaises donnent une impression de profondeur. Le point de fuite se situe vers le meuble bleu, et la fenêtre d’où vient la lumière. Les couleurs du tableau sont en majorité froides, seule celle des chaises qui met une touche de couleur chaude.
Cette œuvre donne une impression d’hyperréalisme, et nous démontre les progrès de la médecine de cette époque.
Ouvertures ?
Vers la fin des années 1960, Rockwell illustre des thèmes plus politiques tels que sa célèbre illustration pour le magazine « look », représentant une petite fille noire qui se rend à l’école escortée par des agents fédéraux (the problemwe all live with).
Supermaret lady : hyperréalisme, sculpture de duane Hanson
Cette œuvre à permis d’inciter beaucoup de familles à faire vacciner leurs enfants, tout en montrant les porgrès de la médecine. On imagine qu’elle a permis d’éviter fortement la propagation de maladie courantes à cette époque comme lapolyo.
J’aime beaucoup cette œuvre qui repréente bien les progrès de la médecine d’autant plus pour son réalisme et sa petite touche d’humour représentée par le petit garçon.
...