La place des enfants dans le monde
Par Ninoka • 4 Décembre 2018 • 1 901 Mots (8 Pages) • 615 Vues
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Article 1- “Au sens de la présente Convention, un enfant s’entend de tout être humain âgé de moins de dix-huit ans, sauf si la majorité est atteinte plus tôt en vertu de la législation qui lui est applicable.”
L'Etat est obligé d'agir en cas de danger domicile pour l'enfant. Il se doit de le mettre en urgence dans un logement sans danger : Article 20 - “L’État a l’obligation d’assurer une protection spéciale à l’enfant privé de son milieu familial et de veiller à ce qu’il puisse bénéficier d’une protection familiale de remplacement ou d’un placement dans un établissement approprié. Toute démarche relative à cette obligation tiendra dament compte de l’origine culturelle de l’enfant “
D'ailleurs, dans le deuxième livre que nous avons étudié qui s'intitule La maladroite. Ecrit par Alexandre Seurat en 2015. C'est le récit d'un martyre, celui d'une enfant, Diana, maltraitée à cause de son retard mental. Celle-ci est maltraitée quotidiennement jusqu'à l'âge de ses 8ans. Dans ce livre, des personnes tentent tant bien que mal d'aider la petite. Premièrement, l'institutrice de Diana remarquait des bleus sur son corps. Elle notait tous les jours les nouvelles blessures qu'elle remarquait. Ces notes, elle les envoit au médecin scolaire. La directrice de l'école convoquait les parents de la jeune fille pour discuter des blessures. Ceux-là ignoraient ces coups, disaient qu'elle se cognait toute seule. Elle a changé d'école. Le deuxième instituteur essayait de comprendre ce qu'il se passait, page 82 "J'étais inquiet - elle avait un comportement panique, je sentais bien qu'elle allait mal, qu'elle trouverait difficilement sa place...". La deuxième directrice est aussi intervenue, page 83 "J'ai aussitôt signalé la situtation à l'inspection d'académie." De plus, le bureaux de l'aide sociale à l'enfance à reçu le signalement concernant Diana. Une enqête à été lancée. Leurs services se sont alors mis en attente. Le signalement est remonté jusqu'aux bureaux du procureur. Une enquête de plus à été lancée, puis, page 85 "Le médecin légiste à été mandaté pour faire les observations." L'enfant s'est faite entendre par un gendarme sur ordonnance du procureur. L'assistante sociale est elle aussi intervenue dans l'histoire par ses propres moyens. Même le pédiatre hospitalier ne comprenait pas comment cette jeune pouvait rééllement se faire ces graves blessures seules.
Nous pouvons constater que, contrairement à l'époque ou les droits de l'enfant n'existaient pas, l'enfant se fait beaucoup aider. A la moindre suspicion de maltraitance, un signalement se fait. Soit par l'assistance sociale de l'école, ou par les professeurs.. N'importe quelle personne se doit d'aider un enfant en danger. Tout d'abord, trois services peuvent intervenir : - L'ASE, l'Aide Sociale à l'Enfance.
- Le SDAS ou SSD, Le Service Départemental de l'Action Sociale ou Service Social Départemental.
-La PMI, La protection Maternelle Infantile.
L'ASE a des missions, elles comprennent des actions de prévention et de soutien en direction des enfants et des familles en difficultés psycho-sociales, et des actions de prise en charge d’enfants qui, pour des raisons diverses, ne peuvent demeurer dans leur famille. Elle doit trouver une famille d'accueil à l'enfant pour ensuite le suivre.
Le SDAS se doit d'accueillir, d'informer et d'orienter la population du secteur. Des assistantes sociales et des conseillères en éducation sociale ou familiale peuvent aider les familles à gérer leur budget.
La PMI, ce sont des médecins, des puéricultrices et des infirmières qui sont chargés d'aider l'enfant en danger. La puéricultrice peut accompagner l'assistante sociale pour enquêter sur l'évalutation du danger sur l'enfant.
Tous ces services sont des protections administratives.
Ensuite, d'autres services sont présents. Ce sont les protections judiciaires.
Ce sont les tribunaux, soit : Le tribunal de grande instance, il connaît des litiges qui ne sont pas spécialement attribués à une autre juridiction. Par ailleurs, il dispose de compétences spéciales dont certaines sont exclusives.
Le tribunal d'instance, qui est un tribunal des litigiges du quotidien.
Le tribunal correctionnel, compétent pour les délits, c'est-à-dire des infractions punies d'un emprisonnement d'un maximum de 10 ans et/ou d'une amende d'au moins 3 750 € comme : les coups et blessures..
Ou, la cour d'assises, compétente pour juger les personnes accusées d'avoir commis un crime. Les crimes sont le répertoire d'infractions les plus graves (assassinat, meurtre, empoisonnement, rapt, viol, vol avec arme...). Car les maltraitances peuvent avoir des graves conséquences.
Il n'y a pas seulement des tribunals qui peuvent permettrent d'agir en cas de danger. Un numéro d'urgence est attribué pour les cas de maltraitance. Il s'agit du 119.
Le 119 est un numéro d'urgence gratuit. Il est joignable tous les jours de l'année, même la nuit. Ce numéro est national, c'est à dire que toute la France y a accès, même les départements d'Outre-mer. Cet appel reste confidentiel. Tout le monde peut appeler, que ça soit les enfants ou les adolescents, comme les adultes. Les jeunes peuvent contacter ce numéro pour eux-même ou alors pour venir en aide auprès d'un ami. Les adultes peuvent contacter le 119 s'ils ont la moindre suspiscion d'un enfant en danger.
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