Exemple de devoir type bac cinéma
Par Orhan • 23 Septembre 2018 • 2 072 Mots (9 Pages) • 639 Vues
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est incapable et d’ailleurs il parle de manière très enfantine à cause de l’alcool. Mais c’est alors que Thomas, qui d’en un premier temps essaye tout de même avant de s’en désintéresser totalement, abandonne l’idée de s’occuper de cette affaire qu’il juge trop dangereuse. Il conseille son père, même lui ordonne, d’abandonner à son tour c’est juste mais il faut davantage montrer comment ceci fait évoluer l’axe d’étude. Il essaye même d’engager une baby-sitter pour s’occuper de son père en demandant à l’ex-fiancée de bien vouloir, en échange d’argent, retourné avec son père pour l’informer de ces faits et gestes. On peut extrapoler que la musique est sont bébé métaphorique et qu’il vient abandonner sont père pour celui ci (bof). Et la musique fait ici lien avec la musique telle qu’elle est employée dans la première séquence, photogramme 01, qui débute dans la vie de thomas au moment ou sont père commence sa chute oui. Cette musique, manque d’attention, mènera son père à la mort. Une mort qui est sale, qui est violente, en témoigne le photogramme 14. On y voie son père en bas littéralement, avachit, et presque noyéabusif dans sont sang. Par la suite thomas commence a avoir un haut le cœur et c’est la que le talent de Romain Duris se prête bien a l’œuvre puisque celui si arrive a nous faire ressentir tout le dégout, et le rejet qu’il perçois de se monde. Le personnage a du mal à ce contrôlé, la caméra étant extrêmement mobile et ne faisant pas le moins sur le père en laissant peut de profondeur de champ.
La mort de son père est principalement la quête initiatique qu’entreprend thomas pour se libéré de la situation imposer par son père. Il s’agit tout de même de relation presque paternelle comme par exemple le personnage de Mr. Fox qui, si il n’est que très peu présent, a une vraie influence sur le personnage TBien. Il va en effet poussé Thomas a s’agripper a une simple proposition de rendez vous comme un éléments qui ferait basculer sa vie. C’est d’ailleurs ce qui rend la séquence devant laquelle il joue si terrible. Thomas a très peur de l’échec et il est presque détruit par rapport au commentaire, pourtant très conciliant, de Mr. Fox. En choisissant cette voie il trouve une forme de père, de direction, différente qui vient remplir le vide laisser par la mère. Thomas est en effet continue cependant de faire les sales bouleaux que son père l’envoie faire pendant un temps. Mais la rencontre avec des personnages extérieures due aux leçons de musique, a ses conquêtes, vont venir ébranlé la certitude qu’il avait placé en lui.
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Cette rencontre va le pousser à s’éloigner de son père. En réalité ce qu’il cherche c’est a renoué avec sa mère comme en témoigne le photogramme 8 qui opère un joli sur- cadrage avec le cadre la photo qui nous montre son père et sa mère unis. Elle nous fait comprendre ce que ressent Thomas, l’espèce d’absurdité de sa vie qui lui permet une première prise de conscience de sa situation pas vraiment une première mais la conscience du temps (passé et comme trajectoire). Il va ensuite commencer les cours de piano, auprès d’une jeune prodige chinoise, qu’il oublie complétement les affaires plus « professionnelles » (?). Cet apprentissage va ébranler ses certitudes et éveiller le désir d’un radical changement de vie, au moment même où son père est menacé par Minskov. C’est donc entre une volonté de vie plus sensible, introduite par les seuls plans fixes du film qui sont les moments les plus calme, et la nécessité de protéger sont père que thomas va commencer sa transformation.
Et donc après la mort de son père, l’échecs rencontré avec le piano le film opère une transition brutal avec un carton «2 ans plus tard». On y retrouve Thomas transformé. Il a reconstruit sa vie, il c’est marié avec sa professeure de piano et maintenant s’occupe de ses concerts comme un agent. Et c’est a l’un de ces concert que par hasard, presque le même hasard que la rencontre avec messieurs Fox, il se retrouve dans les toilettes de la salle confronté a Minskov. D’ou le photogramme numéro 15 qui est plein de sens. Le personnage est confronté entre ce qu’il a fuit, combattu, depuis 2 ans et ce dont ils ne veut plus entendre parlé, et en même temps une envie évidente de vengeance. Il va hésité, représenté par son doute « Minskov ? » lui demande t-il, ou encore le regard qu’il jette a gauche et a droite dont la binarité du choix est renforcé par la lumière opposé des deux point de l’image plus prosaiquement on peut penser qu’il se décide et retrouve ses réflexes de voyou. Il va finalement laisser parlé la violence et se battre avec Minskov ce qui laisse resurgir l’aspect violent de la vie du père et de son milieux. Cependant il ne le tue pas lorsqu’il en a l’occasion et retourne s’asseoir dans la salle de concert, les mains ensanglanté, dans un dernier plan montrant qu’il a réussit a mélangé son aspiration sensible avec le monde violent d’ou il vient et d’ailleurs le plan est fixe, le 3ème du film, ce qui laisse un sentiment d’accomplissement, d’alchimie du déchirement dont il était victime dans le film et qu’est ce que ça nous dit sur l’axe d’étude ?.
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