En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail?

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6-Subordination de l’interet particulier a l’interet general :

A lire les commentaires de M. Blanchette ,il est évident qu’il veut que son interet passe avant celui des employés,il est pres a en congedier pour donner un avertissement aux autres.

7-Rénumération du personnel :

Aucune information a ce sujet

8-Centralisation :

Aucun employés de M.Blanchette a un mot a dire par conséquent il est le seul a prendre des décisions.

9-La hiérarchie :

Tout les employés savent quelle est leur rôles dans la compagnie car m.Blanchette leur rappelle constamment.

10-L’ordre :

Encore une fois M.Blanchette décide de tout pour son département par conséquent tous occupent une place designée par celui-ci

11-L`équité :

Ne correspond par car M.Blanchette diminue dans ses propros ses employés.

12-Stabilité du personnel :

Non car Selon les dires de M.Blanchette il as l’intention de congédier du personnel afin de donner un avertissement aux autres employés.

13-Initiative :

Ne correspond pas du tout car : «Quand je voudrais t’entendre japper,je tirerais sur ta chaine…le respect de la direction» [7]

14 :L’union de personnel :

Non car M.Blanchette utilise des mémos au lieu de communication verbale avec ses employés.

Question 3

Sur la base des postulats du mouvement des relations humaines et du modèle participatif, quelles critiques pouvez-vous adresser à l’entreprise Assurances Sécuriplus? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les postulats du mouvement des relations humaines et du modèle participatif.

Le mouvement des relations humaines vise à améliorer le climat social au sein de l’entreprise, ainsi qu’augmenter la productivité.

Il est évident que Sécuriplus (via M. Blanchette) n’améliore en rien le climat au sein de l’entreprise .Il est aisé de voir cela tout au long de l’étude de cas. Il dit avoir communiqué à plusieurs reprises aux commis par mémos (négatifs) pour leur mettre de la pression afin de mieux performer et pour leur souligner qu’ils ne font pas du bon travail.

« La productivité dépend du moral et de la satisfaction des membres au sein d’un groupe». [8]

Dans le cas présent, on peut lire que la productivité est en baisse et les employés semblent dépassés Donc, pour ce qui est du mouvement des relations humaines, Sécuriplus est incapable de créer le bon climat social dû au leadership de M. Blanchette.

Wikipédia (www.wikipedia.org) décrit le modèle participatif comme suit :

«Le management participatif est un type de management qui tend à optimiser la collaboration du personnel»

Il est évident de voir que Sécuriplus n’emploie pas ce modèle, car la façon autoritaire la manière dont M. Blanchette discipline ses commis par menaces et sanctions, avec des propos tel que :

« Ils vont devoir s’améliorer ou partir. » [9].

«Quand je voudrais t’entendre japper,je tirerais sur ta chaine…le respect de la direction» [10]

Ceci est en contraste évident avec le modèle participatif de Likert, qui fait allusion à l’utilisation régulière des groupes pour la prise de décisions, communication bidirectionnelle, et est largement décentralisés [10].

Il est clair que Sécuriplus ne s’inspire aucunement du mouvement des relations humaines ainsi que du modèle participatif lorsque nous considérons les systèmes de gestion tel que décrit par Likert.

[1] Management a l’ ère de la société du savoir p34.

[2]Assurance Sécuriplus p2.

[3] Assurance Sécuriplus p2.

[4] Management a l’ ère de la société du savoir p37 encadré 1.6.

[5] Assurance Sécuriplus p10.

[6]Fayol(1962,p23)

[7] Assurance Sécuriplus p11.

[8] Management a l’ ère de la société du savoir p55.

[9] Assurance Sécuriplus p11.

[10] Assurance Sécuriplus p11.

[11] Management a l’