Peut-on être heureux ?
Par Christopher • 1 Novembre 2018 • 952 Mots (4 Pages) • 529 Vues
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est posée par la raison, il ne s’agit donc pas de se laisser aller au moindre désir, mais bien au contraire de le calculer, de le penser, de le viser ,par la raison agissante. C’est la raison au final, qui pourra par ce jeu de cause et d’effet, entretenir le plaisir comme étant le Bien à atteindre : se laisser aller à n’importe quelle plaisir c’est pouvoir sombrer dans les addiction et la perte de soi. Quelle est finalement l’origine du bonheur ?
Dans le second moment, on vient de voir que finalement, la condition première du bonheur, est le plaisir, et que c’est grâce lui que nous sommes heureux. Nous allons nous interroger maintenant toutefois sur cette notion de raison,que nous venons de voir : Quelle est-elle ? Si le désir est une réalité dans l’effectivité du bien être, cette condition apparaît très vite secondaire pour le bonheur personnelle d’une personne. Ce qui conditionne cet état, est moins l’affecte, jhn qui dans son développement peut atteindre la propre négation ; mais au contraire la raison qui me dit où est le bien à atteindre , c’est elle qui au final le voit dans la chose, que celle-ci soit posé immédiatement (tel un repas, une expérience) ou qu’elle soit supposé : je vois par le jeu du calcul une finalité qui se présente avant tout dans ma pensée et dans cette notion abstraite, qui est le bien qui est avant tout en elle.C’est pourquoi Aristote fait de la vertu, la condition véritable de l’émergence du bonheur, c-a-d, de la volonté rationnelle à vouloir se poser une fin dans ses actes qui vise le bien non plus comme quelque chose de plaisant, jhkiv mais au contraire dans les abstractions de la pensée : le bien est d’abord une idée qui émerge par l’acte rationnelle, et c’est cette relation de deux qui me fera atteindre le bonheur. Cette paix de l’âme n’est pas affective, mais tout simplement, le fait de retrouver en sois l’idée de bien:le savoir et l’agir moral sont les formes du bien être, non plus la jouissance d’un plaisir. Ce qui fait agir une personne, c’est d’abord d’avoir la volonté, et non pas le plaisir que je tire de l’instant.
Pour conclure,nous avons vu dans un premier moment, ce qu’il fallais entendre par le sens du mot bonheur (la relation d’un état intérieur avec les éléments extérieur.) Ensuite dans un second temps, nous avons essayé de cerner la condition du bonheur, c’est le plaisir. Enfin, dans une dernière partie, nous avons appris que le bonheur, notion qui est abstraite, n’est atteignable que par la raison. C’est donc la raison qui me fera heureux. A ce stade de notre discussion, à la question « Peut -on être heureux » nous pouvons répondre oui, si nous ente
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