Dissertation, la pensée de Marx

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À mon avis, le travail ne permet pas à l’homme d’être libre. L’économie capitaliste à toujours aussi d’impact dans la vie des travailleurs. En effet, la recherche du profit est toujours un procédé important chez les capitalistes : c’est parfois même l’essentiel. Ils doivent toujours trouver la main-d’œuvre la moins couteuse, ce qui est le plus rentable. De nos jours, les compagnies déménagent dans les pays sous-développés pour pouvoir diminuer leurs coûts de production et ainsi atteindre le profit nécessaire. Ils diminuent les salaires des travailleurs et ils se débarrassent des mouvements syndicaux dans les compagnies. Encore une fois, c’est le travailleur qui est victime de cette lutte indispensable entre la main-d’œuvre bon marché et le profit. Il investit les plus merveilleuses années de sa vie à se déployer pour combler son besoin de se réaliser, mais demeure toujours dans ce cycle vicieux. L’époque de Marx n’est pas encore forme du passé. Ce que je veux dire, c’est qu’il y a certes beaucoup d’améliorations sur les conditions de travail, mais cela ne s’applique pas à tous les travailleurs de ce monde. Or, plusieurs problèmes dont Marx en a fait la critique à l’époque sont toujours présents. Par exemple, les enfants utilisés comme main-d’œuvre dans certains pays et le taux de chômage élevé. En somme, c’est la production matérielle qui prime sur les conditions de vie du travailleur et nous pouvons voir le jour du produit grâce à l’homme. Le profit est possible grâce au produit du travail humain, et pourtant il acquiert une plus grande importance qu’à la vie même du travailleur. Donc, le produit de son travail ne lui appartient pas. Il perd sa vie à concevoir des choses qui lui sont étrangères. Le capitaliste est l’essentiel, le profit compte plus que tout le reste. L’homme devient alors dépossédé et perd la maitrise de sa vie et ses propres idées lui échappent. Il n’est plus en mesure de se réaliser. Il serait bien que les travailleurs dans les pays en voie de développement ne soient plus traités comme des marchandises ou des moyens de s'enrichir et d’acquérir du pouvoir.