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Adm 1002

Par   •  22 Octobre 2018  •  Dissertation  •  1 534 Mots (7 Pages)  •  665 Vues

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Question 2

En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les principes administratifs d’Henri Fayol.

Le grand investigateur de l'administration classique; Henri Fayol, décida de réfléchir son expérience de gestion et d’en dégager des principes de gestion afin d’aider à mieux former les ingénieurs appelés à diriger des personnes et des entreprise. Nous pouvons voir que plusieurs de ces principes sont mis à l'œuvre dans le cas des Assurances sécuriplus notamment: la division du travail, ,le degré de centralisation, l'autorité et la responsabilité, l'unité de commandement, l'unité de direction, la hiérarchie e l’ordre. Cependant, d'autres principes comme par exemple; la stabilité du personnel, l'initiative et l'union du personnel, sont à prendre en considération.

Afin de mieux répondre à cette question, on va tout d’abord aborder certains des principes administratifs que l’entreprise Assurances Sécuriplus pratique en général.

  • La division du travail.

La division du travail permet de produire davantage, avec des efforts comparables. Selon Fayol (1962, p21) : Elle permet … elle a pour conséquences la spécialisation des fonctions et la séparation des pouvoirs.

Comme nous pouvons le voir dans la question 1, le principe de la division du travail est présent au sein de cette entreprise. Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau. Les tâches sont réparties entre les employés et chaque employé a une tâche spécifique à effectuer, par exemple nous pouvons le voir dans l’extrait du cas suivant : Tous les trois jours, un employé du service des réclamations/médicaments recueillait la pile de réclamations incomplètes pour les retourner aux bénéficiaires en expliquant pourquoi la réclamation était incomplète et en demandant de la présenter à nouveau.

  • L’autorité et la responsabilité

Ce principe correspond au droit de donner des ordres et au pouvoir de les faire exécuter. Selon Fayol, il n’est point d’autorité sans responsabilité, c’est-à-dire sans une sanction (récompense ou pénalité) des conséquences des actes. La sanction découle de la responsabilité et dois exister à tous les niveaux de l’échelle hiérarchique.

M.Blanchette, le directeur du service des réclamations/médicaments, démontre son style autoritaire en donnant des ordres à ses subordonnés comme on peut le voir dans les extraits suivants : Je lui ai dit de se mettre à l’ouvrage et de s’arranger pour comprendre faute de quoi elle devra se chercher du travail ailleurs, ..je voulais le voir devant son écran et qu’il avait  intérêt à faire du travail qui lui vaudrait le respect de la direction, j’ai envoyé un mémo aux commis pour leur dire qu’il fallait augmenter la vitesse de traitement et éliminer les erreurs et que c’était tout ce qu’on leur demandait. Aussi, on peut voir qu’il songe à congédier certains employés : …M. Blanchette commençait à penser qu’il lui faudrait congédier quelques-uns de ses employés pour donner un avertissement sérieux aux autres, dans ce cas-ci, le congédiement d’un employé est une sanction des conséquences de ses actes. Nous pouvons aussi observer que la sanction est valable pour tous les niveaux de l’échelle hiérarchique, par exemple : Le directeur commercial de la division médicale menaçait maintenant de porter plainte auprès du vice-président aux ventes de la société afin d’améliorer la performance des services des réclamations/médicaments et soins dentaires.

  • L’unité de commandement.

L’entreprise Sécuriplus correspond à ce principe comme on peut le voir dans la figure 1 : l’organigramme de la division médicale. Si nous prenons exemple sur l’équipe de vente, celle-ci dépend du directeur des ventes, et ce dernier dépend du directeur de la division médicale. Donc chaque personne appartenant à un département quelconque dépend d’un seul chef.

  • L’unité de direction.

Les personnes qui travaillent dans un même but doivent relever d’un seul patron, mais aussi d’un seul programme. On peut constater que ce principe correspond au cas des assurances sécuriplus car cette entreprise est divisée en trois parties; la division vie, la division industrielle et la division médicale, ainsi chaque division est un programme en soit et a sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau.

  • La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général.

Les buts de l’entreprise doivent primer les intérêts individuels.

On peut voir dans cet extrait :

L’entreprise Sécuriplus avait entrepris une vérification d’un certain nombre de réclamations par une équipe indépendante, et les commis n’avaient pas été informés de cette vérification afin de préserver la confidentialité.

Ce processus vise à cibler les problèmes de l’entreprise avant tout.

  • La hiérarchie.

Référons-nous à la figure 1 ; l’organigramme de la division médicale, qui illustre clairement la hiérarchie dans le cas de l’entreprise des Assurance Sécuriplus.

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