La mentalité empoisonnée dans la scientificité des étudiants en RDC.

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que la conscience ait le sens dans nous.

Le Congo d’aujourd’hui assiste à une fragilité de la science alors que nous assistons à la multiplication des écoles et d’universités, au lieu cette multiplication soit le bonheur de la nation ; elle est devenue un malheur de la nation parce que rien ne change dans nous, car nous sommes devenus immobiles dans nos connaissances. Etant donné que ceux qui se disent intellectuels sont ceux qui catalysent les sociétés. Des différentes agressions sont provoquées par les étudiants eux-mêmes, quel avenir compte le Congo avec cette génération ?, le projet « éducation en avant », semble ne pas avoir le sens. Plutôt d’encourager le Congo dans ces processus de la construction d’écoles, nous semblons le décourager.

La vision du Congo sur la construction et l’amélioration des capacités d’encadrement des étudiants se dégrade de pire parce que nous détruisons les locaux à cause de notre imbécilité, nous nous battons avec quelque chose unanime. « Construire ou ne pas construire » sont deux mots que nous cherchons à égaliser suite à notre ignorance, ERNEST RENAN avait dit « l’ignorance est plus meurtrière que la pauvreté ». Ces deux mots seront des jumeaux en RD Congo.

La source des leaders n’était pas épuisée et n’est pas finie ; il y a encore plus qu’auparavant, il y a les uns et c’est nous, nous étudiants auxquels le Congo a l’espoir. Ne soyons pas de sourds-muets, des aveugles , oui , nous savons qu’ils ont voulu nous faire des artificiels , au lieu de nous laisser naturels , pour nous faire transporter les poids qui nous dépassent , parce que ;on était ignorant , primitif . Ils nous ont tués et ils les ont tués sans savoir mêmes le nombre qui dépassait leurs yeux et leur conscience, parce que, ils voulaient qu’ils soient libres et faire vivre cette liberté à des futures générations. Voilà la solidarité qu’ils avaient pour nous, parce que, ils savaient que nous sommes capables de faire de nous-mêmes, les damnés savaient qu’être libre c’est accéder à l’éducation et s’auto-développer.

C’est pour cela, nous devons faire aboutir la mission qu’ils ont laissée pour être aussi solidaires comme eux. Ne soyons pas manipulés par une opacité des politiciens parce qu’on a la connaissance mais soyons manipulés pas la vérité et l’ordre.

Nous nous crayons de mal nous les étudiants parce que nous sommes peut être des ignorants. Sachons que la solution ne pas d’avoir une seule tribu pour une université. Aux universités il n’y a pas la majorité ou l’opposition mais nous savons que c’est l’égalité qui compte parce qu’elles sont apolitiques.

Nous avons besoin des mérites qui nous méritent conscientement et respectueusement, pas mériter pour mériter parce qu’on est de telle ethnie, telle origine, telle famille ou telle connaissance. Nous voulons planter le principe de la méritocratie. Les universités n’ont pas été construites pour recevoir et accueillir les bandits, les agrégats, les délinquants mais pour accueillir les gens qui veulent faire avancer le pays dans le bon mais pas dans le mal et pour aussi les en soiffés et les en fameux de la science.

Nous sommes capables de barricader le raccourci le plus facile des politiciens et autres malfaiteurs qui veulent corrompre frauduleusement les étudiants pour grever, perturber l’ordre universel pour que leurs revendications soient prises en compte.

Malgré la démocratie, nous ne pouvons pas engendrer les manifestations illégales, les destructions méchantes des locaux qui provoqueront des problèmes conjoncturels pour la nation. Car la liberté pour vous peut être une dictature pour les autres ; la démocratie n’exclut le respect des lois, la vraie démocratie c’est l’acceptation de la contradiction.

A l’université tout le monde vient apprendre pour son propre meilleur afin de présenter à la société le bien de soi même. Détruire un lieu où on propage la science, c’est mettre une barrière à nos futures générations. Etant donné qu’on est dans un pays en voie de développement, au lieu de combler les vides dans le pays, nous les augmentons.

Perturber la propagation de la science ; c’est terroriser la société. La science a besoin d’être développée car elle n’est pas immobile et elle serait développée par des étudiants ordonnés et respectueux de leur titre, de leur comportement, pas avec les étudiants barbares et délinquants. Le mal est entré mais jusqu’aux ADN des étudiants. Nous risquerons d’avoir une même future génération si les autorités ne seront pas vigilantes d’adopter les mécanismes de lutter contre ces genres de magouilles qui se passent aux milieux universitaires.

Les étudiants doivent savoir que les actes posés avec ignorance sont aussi punissable que ceux posés à connaissance de cause. Nous semblons ignorés le but ultime de nos études et pourtant la communauté continue à espérer à nous et dans nous.

Bien sûr que tout étudiant ou élève studieux doit savoir pourquoi il est à l’école, chose qui doit pousser à faire le bien et à éviter le mal. Etant donné que la guerre gangrène presque toute la république, les étudiants se mêlent dans les affaires de la guerre et surtout dans les milieux universitaires alors que c’est une affaire qui ne les concerne pas. Ces genres des barbaries causent une double conséquence, Seule pour la qualité et l’autre pour la quantité. La qualité est embarrassée par la quantité, la quantité sont des étudiants délinquants, catalyseurs, semeurs de trouble, la qualité sont les étudiants qui sont polis et studieux, les visionnaires de ce pays, nous les appelons les étudiants qui ont soif et faim de la science.

Il est rare chez nous de voire un étudiant dans une bibliothèque, cyber café pour s’enrichir la connaissance mais c’est plus moins rare de les voire dans les inutiles.

Ce sont ces genres des étudiants qui sont souvent attrapés pour la tricherie pendant les examens et défendent mal la nation nationalement et internationalement, les autres finissent sans mêmes avoir la capacité de défendre leurs diplômes. Il est alors difficile pour ces derniers de s’exprimer même pour une minute en français et quand ils s’expriment, les autres pensent qu’ils font la comédie et quand ils postulent aux emplois, ils échouent et ils laissent la charge à l’Etat, en disant notre pays va mal. Ces étudiants existent au Congo.

Le Congo doit savoir qu’une nation qui produit de jour en jour des hommes stupides achète à crédit sa propre mort pour son développement. Les universités sont les milieux de l’intellectualisme, de la socialisation, et