Lala

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Simple boucle : permet à l’individu d’apprendre sans que l’organisation puisse capitaliser ces connaissances

Double boucle : permet à l’organisation de mutualiser les connaissances et de devenir une organisation « apprenante »

Contrat psychologique : atteintes implicites des deux côtes les salariés et les employeurs, parfois pas conscients. Essayer de le faire converger.

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La psychologie sociale : éléments de définition

Une discipline à la croisée de la phycologie et la sociologie

S’intéresse à l’individu dans son contexte social et étudie les mécanismes d’influence sociale entre l’individu et les différents groupes dans lesquels il évolue.

L’influence sociale est une composante essentielle de la relation à autrui et de la relation entre individu et société. Pression exerce implicitement ou explicitement par un individu ou groupe sur l’autre, en conséquence modifiant ses attitudes et comportements

La socialisation est le premier type de mécanisme d’influence sociale. Elle va designer le processus dans lequel l’individu va apprendre à faire partie de la société. Elles se construit dès la prime enfance et poursuit tout au long de la vie

Socialisation primaire : premier enfance jusque l’adolescence. Elles se fait au sein de la famille et puis à l’école. Très forte parce que c’est la premier qui l’individu reçoit.

Socialisation secondaire : se fait de plus en plus au sortie de l’adolescence. Clubs sportifs, au travail, associations, etc. Moins forte que le primaire, plus complémentaire.

La normalisation

Normes : représentent des règles, qui orientent notre comportement et déterminer ce qu’on trouve acceptable. Sont formels ou informels. Mais doivent être partagées par l’ensemble de membres d’un groupe. Exemple : le code de la route, les règles d’une entreprise

Beaucoup de valeurs sont devenues des normes.

Normes et valeurs sont des notions très proches

Les normes s’inscrivent dans le domaine de l’action alors que les valeurs sont davantage de l’ordre du principe. Les systèmes de valeurs sont généralement hiérarchisés, si bien que certaines valeurs peuvent être plus importantes que d’autres.

Normes : ensemble de règles avec des sanctions et que doivent être partagés.

Valeurs évoluent moins rapidement

La normalisation désigne le processus d’influence réciproque entre les individus d’un groupe, en vue de négocier une norme commune, sous la forme d’une opinion ou d’un jugement acceptée et acceptable par tous

L’expérience de Muzafert Sherif en 1936 : lors des situations ambigües, les individus modifient leur jugement pour converger vers une réponse commune.

Illusion optique : observer un point lumineux en l’absence de tout point de référence. Incertitude si le point bouge. Un groupe : évaluer individuellement et après en groupe. Deuxième groupe le contraire. 1 groupe : les sujets élaborent leur propre estimation et après convergent vers une norme commune. 2 groupe : groupe élabore une norme collectivement et après les sujets s’appuyaient sur la norme pour répondre individuellement

La soumission à l’autorité MILGRAM 1960-63

Soumission : pression explicite exercé par un groupe, perçu par l’individu comme une source d’autorité légitime. L’individu modifie son comportement pour obéir à l’ordre et se soumettre à l’autorité.

Le conformisme

L’effet produit par la pression implicite d’un groupe dur un individu. Il modifie son attitude pour adopter et donc se conforme à celle du groupe

Salomon ASCH, 1951 : les segments courts sont longs, les segments longs sont courts. L’individu garde sa propre opinion ou se conforme ?

L’influence est forte si le groupe a 4 ou plus d’individus.