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Etude de marché du secteur de la confiserie

Par   •  4 Avril 2018  •  2 380 Mots (10 Pages)  •  838 Vues

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Storck Allemand 2.6 International Werther’s original

Ricola Suisse 1.6 International Kräuter

Perfetti Italie 0.8 International Menthos/chupa chups

C. Les lieux de distribution

Le circuit de distribution présent dans le marché de la confiserie est internet qui est un canal court car les produits sont vendus directement aux consommateurs sans intermédiaire.

Chez les buralistes qui est un circuit long puisqu’il peut y avoir deux ou plus d’intermédiaires comme le grossiste ou les détaillants etc…

Pour les supermarchés ou hypermarchés, c’est un canal court puisqu’il n’y a qu’un seul intermédiaire entre le producteur et le consommateur, qui est la centrale d’achat.

L’implantation des produits dans les rayons dépend du segment dans laquelle est le produit. En effet, les confiseries de poche sont présentes en début de caisse ainsi qu’une présence chez les buralistes et les épiceries.

Certaines marques ont des présentoirs spécialisés partout dans le magasin pour susciter l’envie chez le consommateur tout au long de son achat. Pendant certaines promotions, il peut y avoir des présentoirs à l’entrée du magasin à l’effigie de la marque, afin de susciter l’intérêt du consommateur dès son arrivée.

Suivant la notoriété de la marque, elle sera mise plus ou moins en évidence dans les rayons. Par exemple, les grandes marques seront au centre du rayon, à la vue direct du consommateur ainsi les yeux se poseront directement sur le produit. Par contre les marques de distributeurs seront en-dessous des grandes marques ainsi le magasin mettra en valeur sa propre gamme de produit.

III. La demande

A. L’analyse quantitative

• National

Pour prévoir la demande dans le marché de la confiserie sur le marché français, nous allons utiliser la méthode des moindres carrés. Grâces aux années 2010 à 2012, nous allons anticiper le chiffre d’affaires à dégager pour l’année 2013 ainsi qu’en 2016.

Années x y Xi Yi XiYi X²

N 1 1011 -1 30.6 30.6 1

N1 2 1060 0 -18.4 0 0

N2 3 1054 1 12.4 12.4 1

Total 6 3125 0 -0.2 43 2

Moyenne X=2 Y=1041.6

Y= ax+b

a= (somme XiYi)/ (somme Xi²) = 43/2= 21.5

b= (moyenne y)- (a*moyenne x) = 1041.6 – (21.5*2) = 998.6

y= 21.5*4+998.6 = 1 084.6 millions d’euros

Le chiffre d’affaires prévisionnel pour l’année 2013 sera de 1 084.6 millions d’euros.

Pour l’année 2016, soit x=7

Y= ax + b

Y = 21.5 * 7 + 998.6 = 1 149.1 millions d’euros

Pour 2016 le chiffre d’affaires prévisionnel pour l’année 2016 est de 1 149.1 millions d’euros.

Grâce au tableau sur la balance commerciale (document 5), nous pouvons constater qu’entre l’année 2007 et 2012 l’exportation reste plus ou moins la même en France. En effet en 2007 la France exportait 155 999 millions d’euros, alors qu’en 2012 la France exportait 161 681 millions d’euros, soit une hausse de 3.6%. Contrairement à l’importation qui a connu une forte hausse de 19.8%. En effet, en 2007 la France importait 239 789 millions d’euros alors qu’en 2012 elle importe 287 231 millions d’euros.

De plus, en 2007 nous pouvons voir que le solde de la balance commerciale est de -83 790 millions d’euros alors qu’en 2012 il est de -125 550 millions d’euros, soit une augmentation de 49.8% au cours des cinq dernières années.

Nous constatons dès lors que la France est plus importatrice qu’exportatrice dans le marché de la confiserie.

Afin de connaître le financement des importations par l’exportation de la France, nous allons utiliser la méthode du taux de couverture pour l’année 2012.

Exportation / importation = 161 681 / 287 231 = 56.2%

On peut constater que nous finançons nos importations par nos exportations à seulement 56.2%.

• International

Sur le graphique ci-dessous, nous pouvons voir que les premiers consommateurs mondiaux sont la Suède (13%), le Danemark (12%), la Finlande (10%) et l’Allemagne (9%).

La France n’est qu’au huitième rang mondial avec 6% de consommation, à égalité avec l’Autriche et la Suisse. Le pays le moins friand est l’Italie qui détient seulement 3% de la consommation mondiale.

B. L’analyse qualitative

• Les cibles

 Cibles : en général les cibles les plus prisées sont les adolescents de 12 à 17 ans, mais suivant les bonbons achetés la cible varie. En effet, les confiseries de devant de caisse sont adressées aux adultes. Par contre, les confiseries achetées dans des lieux spécifiques tels que les buralistes sont plus adressées à une clientèle de fumeur. Par contre les bonbons vendus avec des jouets comme Fizzy sont prisés par les enfants entre 3 et 10 ans.

 Saisons d’achat : les distributeurs font leur plus grand chiffre d’affaires lors des grandes fêtes comme Noël, Halloween, la Saint Valentin, Pâques. Lors de ces occasions, les confiseries sont au cœur de l’attention, aussi bien pour les calendriers de l’avant, que les œufs en chocolat dans le jardin lors de Pâques. Mais les confiseries ne sont pas des produits saisonniers, tout au long de l’année les confiseries sont appréciés par petits et grands.

 Lieux de vente : les lieux de ventes dépendent de la cible visée. Mais majoritairement dans les supermarchés, les hypermarchés, la cybervente et les commerçants. Les confiseries étant un moment de plaisir et de détente nous pouvons en retrouver lors des fêtes foraines, les marchés ou encore les brocantes. 80% des confiseries sont vendues dans les grandes surfaces et 20% en boulangerie/détaillant/kiosque/buraliste…

 Dépense moyenne : la dépense moyenne d’un ménage français

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