La bioinformatique
Par Plum05 • 18 Avril 2018 • 2 110 Mots (9 Pages) • 559 Vues
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l’article de Monsieur Didier Debroas sur cette spécialité que j’ai compris qu’il s’agit
en-fait de l’étude de l’écologie moléculaire .
5/Mon choix:
Après avoir rencontré plusieurs personnes pas seulement dans le projet PEL mais aussi
durant les années précédentes, j’ai pu collecter plusieurs informations sur la
bioinformatique et ainsi choisir le domaine qui m’intéresse le plus.
Au début de cette année j’ai rencontré un ancien étudiant à Lyon 1 qui travaille
actuellement autant qu’ingénieur bioinformaticien en agronomie, il m’a bien renseigner
sur son travail et sur les unités d’enseignement qu’il a eu au cours de son cursus
universitaire , il a fait donc beaucoup de biologie végétale , ce qui m’intéresse pas . Pareil
pour le domaine pharmaceutique il y’a beaucoup d’unités d’enseignements sur la chimie,
et ce n’est pas une matière dans laquelle je suis alaise..
Comme je l’ai préciser au début ,c’est la génétique qui me séduit , c’est donc le domaine
génomique de la bioinformatique qui m’intéresse énormément.
En conclusion, aujourd’hui, ma question reste donc celle du départ, à laquelle je souhaite
encore répondre : est-ce que je connais bien tout ce qui s’offre à moi ? Et est-ce à quoi je
m’attends vraiment ?
Métier bioinformaticien :
Entre la biologie et l’informatique, son coeur balance ! Ce scientifique à la double
compétence travaille main dans la main avec des chercheurs de tout poil. Pour eux, il crée
des logiciels qui leur permettront d’exploiter efficacement tous les résultats obtenus au
cours de leurs expériences. Un collègue a besoin de modéliser une structure de protéine ?
Le bio-informaticien développe pour lui le programme informatique adéquat. Certains bioinformaticiens
sont spécialisés dans les statistiques : ce sont les biostatisticiens.
Ses compétences : concevoir, développer, adapter.
Sa formation : un master professionnel en bio-informatique accessible après un cursus en
biologie, chimie ou informatique ou un master double compétence informatique appliquée
à la biologie, comme le master proposé à Lyon 1 , université de Montpellier , Toulouse ..ect
Certaines écoles d’ingénieurs proposent aussi des spécialisations dans le domaine ( l’INSA
par exemple).
Licence Science de la vie à Lyon 1 :
Description de la formation :
La licence Sciences Technologies Santé (STS) mention Biologie se décline en 3 années:
-La première année, ou L1, commune à tous les étudiants inscrits en portail "Sciences de la
Vie et de la Terre".
-L’orientation dans la mention Biologie s’effectue en deuxième année (L2) par le choix d’UE
obligatoires de Biologie.
-La troisième année ou L3, est une année de spécialisation et se décline en 7 parcours:
1- parcours Génétique et Biologie Cellulaire (GBC)
2- parcours Microbiologie
3- Parcours Physiologie Animale
4- parcours Biologie des Organismes et des populations (BOP)
5- parcours Biologie Générale Sciences de la Terre et de l’Univers (BGSTU)
6- parcours Modélisation et Informatique du Vivant (MIV)
7- parcours Biosciences (co-dirigé avec l’Ecole Normale Supérieure de Lyon)
Le choix d’une spécialisation au sein de la mention Biologie, via un parcours, est
progressif et peut être fait soit en début de L2 (2ème année), soit retardé, dans certains
parcours, en L3 (semestre 6).
Chaque année est constituée de 2 semestres de 30 crédits européens chacun.
Master du domaine SCIENCES, TECHNOLOGIES, SANTE :
Mention : Santé public
Parcours : Biostatistique, biomathématique, bio-informatique et santé
Résumé de la formation :
La spécialité B3S formera des biostatisticiens pour l’analyse des essais thérapeutiques et
des études épidémiologiques dans différents domaines (Le cancer, les maladies
cardiovasculaires, les maladies infectieuses) et des bioinformaticiens pour l’identification
de biomarqueurs associés au diagnostic et au pronostic des maladies. Elle intègrera
davantage encore l’analyse statistique des données issues de la biologie moléculaire
moderne (analyse différentielle du génome, du transcriptome, du protéome.
Poursuites d’études et débouchés :
Biostatisticiens, Biomathématiciens, Bioinformaticiens
– Recherche et Secteur public (Université, Hôpitaux, INSERM, CNRS, INRA, INRIA,
AFFSA, Collectivités Territoriales), laboratoires ou services de biostatistique, de
bioinformatique, de mathématiques appliquées, de pharmacologie,
d’épidémiologie, de génétique, de biologie moléculaire,
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