Un primtemps à Tchernobyle
Par Stella0400 • 23 Août 2018 • 1 129 Mots (5 Pages) • 380 Vues
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- Dominique
Dominique est lui aussi un illustrateur dessinateur. Il est président d’une association « les dessin ’acteurs » qui propose à des auteurs de réaliser des dessins « engagé » en vue d’aide des actions « concrète »
Il est très impliqué dans la lutte contre le nucléaire, Il réalise régulièrement des dessins sur ce sujet. Il rencontre pascal et Morgan quelque mois auparavant lors d’une conférence en bretagne.
Réflexion sur le thème :
« Vivre c'est prendre le risque de mourir » est une phrase tirée du livre. Elle nous montre que pour que la vie soit extraordinaire il faut parfois prendre des risques pour vivre tout en ayant pas peur de la mort. Cella est tout as fait l’aventure de Emmanuelle Lepage dans l’album il prend le risque d’aller dans la zones irradier pour vivre une aventure humaine.
Avis personnel argumenté :
Le Printemps à Tchernobyl nous ramène violemment à la dure réalité tout en ne manquant pas de nous faire réfléchir quant à notre position sans doute privilégiée d'occidentaux. Cette aventure humaine est formidable. L’aventure nous fait découvrir une zone peu connue de nous les occidentaux et plutôt secrète durant la guerre froide.
Choix, analyse et justification du passage illustratif :
[pic 5][pic 6]
Planche 68 visite de la ville de Tchernobyl et planche 111 Visite de la forêt n zones contrôler
Le dessin d'Emmanuel Lepage, au-delà de cette caractéristique de couleurs qui évolue au fil de l'album et du changement de son avis sur Tchernobyl et de l’effacement de ces craintes. Cet auteur est un formidable dessinateur de paysages surtout en sachant qu’il avait le stress du au temps compter face à l’exposition à la radiation. Les cases des planches 68 s’oppose entre le dessin monochrome ayant se sentiment de tristesses, de la mort, ou de l’apocalypse. Il se rétorque à c’est détail au couleur fluo intégrant dans ces cases qui fait appuie à des détails ramenant à la société quotidienne et à la vie au milieu dans un désert sombre.
Sur la planche 111, les couleurs apparaissent complètement lorsque que Emmanuelle Lepage se rend compte que la vie continue, le vert de la forêt prend le dessus sur le gris.
J’ai choisi cet extrait car il montre la total opposition entre le début de l’aventure le stress de la maladie et découvrir une zone mortuaire et sombre, face à la fin au sentiment de vie et que les occidentaux devrait avoir peur.
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