Le festin de babette

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Babette part deux semaines pour faire les préparatifs pour le Banquet

Elle ramène de la tortue et du clot-vougeot 1846

Martine rêve que ces un souper pour empoisonner ses frères et soeurs, elle va les avertir le lendemain

Loren n’est pas heureux, il veut régler ses contes avec lui même quand il était plus jeune

voisin de table de Loren est le colonel de Gallifet

Plus les convives mangeaient et buvaient, plus ils se sentaient légers

ils avaient compris que ce n’est pas seulement en oubliant le manger et le boire, mais bien en récusant toute idée de nourriture et de boisson, que l’homme mange et boit dans le bon état d’esprit

Cette femme est capable de transformer le moindre repas servi au café anglais en une sorte d’affaire d’amour, une relation amoureuse éthérée et romantique où l’on ne sait plus faire la part entre l’appétit physique et l’appétit spirituel, voire entre la satiété et la plénitude.

discours du général Loren, il commence avec les paroles du pasteur

nous tremblons devant les choix que nous devons faire à l’idée d’avoir mal choisi, mais on finit par comprendre que la grâce est infini…ce que nous avons choisi nous est donné, et ce que nous avons reposé nous est accordé également

La pièce a été illuminée d’un clarté céleste, le temps lui même se confondit avec l’éternité

Loren a apprit que tout est possible désormais p 73

Chacun sentait comme une bénédiction de se retrouver tel un enfant, c’était un pied de nez céleste de voir les frères et les soeurs âgées, qui s’étaient toujours montrés si graves et sérieux, recevoir un bain de jouissance p 73

Aucun souvenir du souper, mais elles dirent à Babette que c’était véritablement excellent

Autrefois elle était cuisinière au café Anglais

diner de douze couvert coutait dix mille francs

elle était une grande artiste, « quand je donnais le meilleur de moi-même, j’étais en mesure de les rendre parfaitement heureux » p78