La littérature de Shenzhen
Par Plum05 • 24 Octobre 2018 • 2 028 Mots (9 Pages) • 386 Vues
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Dans le conte Chérie, on va à l’hôpital de Beida[5], le couple d’âge moyen a fait beaucoup d’efforts pour avoir un bébé. Est-ce que c’est facile de voir le médecin pour les immigrés ? Non, parce qu’il y a beaucoup d’immigrés à Shenzhen, chaque fois que vous voulez allez au médecin, vous devez faire une longue queue. En plus, si vous voulez aller à l’hôpital, vous devez laisser de côté de votre travail ce qui veut dire que vous ne pouvez pas gagner de l’argent. C’est la vie des immigrés de bas-fonds de la société.
Pour les immigrés de bas-fonds de la société, ils n’ont pas d’argent. Ils ne savent pas où se trouve leur avenir. Shenzhen est une belle ville pour eux mais ce n’est pas leur maison. Quand ils sont arrivés à Shenzhen avec leur rêve de Shenzhen, ils croient qu’ils sont peuple de Shenzhen. Mais la réalité est au contraire.
La vie des immigrés qui sont élites intellectuelles de Shenzhen.
L’écrivain Deng Yiguang a non seulement raconté les histoires des immigrés de bas-fonds de la société mais aussi celles des immigrés qui sont élites intellectuelles de Shenzhen.
Dans le conte Shenzhen se trouve entre 22°27'-22°52' de latitude nord[6], Deng Yiguang nous a montré la vie d’un jeune couple dont le mari est ingénieur et la femme est professeur de yoga. Le travail de l’ingénieur est très occupé. Il doit travailler nuit et jour donc il n’a pas de temps de rester chez lui. Il dort mal à cause de son travail pressé. Il rêve toujours. Dans son rêve, il devient un cheval qui court dans la prairie. Au contraire, sa femme rêve un mauvais rêve. Dans son rêve, elle devient un papillon qui est en danger de mort. Les rêves de ce couple sont bizarres mais ils reflètent leur vie angoisse. Bien qu’ils ne manquent pas d’argent de vivre, ils ne sont pas contents. Ils doivent travailler nuit et jour pour garder leur statut à Shenzhen. La belle vie a toujours un prix. Il n’y a pas de paresseux à Shenzhen. Tout le monde est travailleur modèle. Dans un autre conte 200 mètres loin du centre de peuple[7], la vie d’un autre jeune couple nous a fait réfléchir aussi. Ce jeune couple est en train de chercher un bâtiment pour mariage. Le mari est docteur qui a fondé une entreprise avec ses amis à Shenzhen. La femme est diplômée de master qui travaille dans une entreprise comme désigner. La femme veut vivre dans le centre de peuple et y acheter un appartement. Son rève se réalise. Mais elle n’est pas heureuse. Elle pleure dans son rêve. Ils vivent dans le centre de la ville mais ce n’est pas vraiment lié à leur vie actuelle. Ils sont encore les immigrés de Shenzhen. C’est pourquoi dans la fin de la texte que le docteur dit qu’ils ne sont jamais peuple de Shenzhen.
Les immigrés qui sont élites intellectuelles de Shenzhen vivent une vie plus belle que celle des immigrés de bas-fonds de la société mais ils ne sont pas plus heureux. Ils ont assez d’argent qui leur permettent d’avoir un bel appartement ou une vie de luxe. Malheureusement, cette somme d’argent ne leur offert pas un statut de Shenzhen. Ils ne sont pas peuple de Shenzhen et ne fait pas partie de Shenzhen.
Conclusion
Dans la ville de Shenzhen, on peut rencontrer les immigrés partout. Deng Yiguang a écrit un petit nombre de ce group. Où est l’avenir de ces immigrés ? Ils ne sont pas peuple de Shenzhen mais ils travaillent pour Shenzhen, ils sont constructeurs de Shenzhen. La ville de Shenzhen ne peut pas se développer si rapidement sans eux. Dans la ville moderne comme Shenzhen, tout le monde est en train de chercher leur avenir. Certains ont reussi à se faire une idée claire de son avenir mais la plupart des hommes ont échoué. Dans la ville de Shenzhen où vivent les immigrés, le système de sécurité sociale est défectueux. Ce système ne peut pas leur offert une vie meilleure. Les immigrés doivent être traités comme les autres. Ils ont le même droit de jouir la service de médicale, d’éducation et d’habitation. Les immigrés peuvent avoir une idée claire de son avenir à condition que leur vie soit garantie. Par ailleurs, la mentalité des immigrés sont aussi importants. D’après les enquêtes, de plus en plus de personnes sont dans l’anxiété surtout chez les cols blancs de grande ville comme Shenzhen. Beaucoup d’entre eux souffrent d’insomnie. Nous devons y attacher plus d’importance.
Dans les œuvres de Deng Yiguang, on peut avoir une peinture plus claire sur la ville de Shenzhen. Il reste encore beaucoup pour nous à réfléchir. Dans la ville de migrants, est-ce qu’on peut installer notre rêve et qu’on peut réaliser notre rêve ? Si on ne peut pas le faire, où se trouve notre avenir ? Deng Yiguang n’a pas répondu ce question dans ses œuvres. Il nous a laissé la question.
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BIBILOGRAPHIE
- Deng Yiguang (邓一光), 2014,《你可以让百合生长》, 海天出版社(Le recueil Vous pouvez laisser grandir les fleurs de lis, Presse du ciel bleu, 411p. )
- Deng Yiguang (邓一光), 2014,《深圳在北纬22° 27’—22° 52’》(Shenzhen se trouve entre 22°27'-22°52' de latitude nord,) 海天出版社(Le recueil Shenzhen se trouve entre 22°27'-22°52' de latitude nord, Presse du ciel bleu,170p)
- Li Dennan (李德南), 2015,《他们都是造物主的光荣-论邓一光的深圳系列小说》 南方文坛, (« Ils sont gloires de Dieu-opinions sur les œuvres Shenzhen de Deng Yiguang » in Périodique du forum de culture de sud.)
- MENG Fanhua (孟繁华), 2013,《现代性难题与南中国的微茫,评邓一光文集》沈阳 : 文艺争鸣, (« le problème de la modernité et le sud de la Chine, commentaire sur le recueil Shenzhen se trouve entre 22°27'-22°52' de latitude nord de DENG Yiguang » in Périodique de la théorie artistique et l’art de critique, Shenyang.)
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