Dissertation sur l'extraordinaire

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Dans les œuvres de cette synthèse concise, les écrivains enrichissent leurs édifices afin qu’eux cela les diffère des autres ouvrages, œuvres. Cela permet aussi que les auteurs s’attirent les honneurs d’un « titre » en avant-première qui n’est pas toujours véritable (article journalier par exemple, fausse rumeur). Nous sommes tous à la fois spectateurs et acteurs de cette surenchère de l’extraordinaire. En effet, exagérer devient banale souvent pour s’attirer les honneurs permettant de se sentir « exceptionnel » ou de vivre des événements « exceptionnels ». Ou même les personnes riches elle-même font des événements extraordinaires démesurées pour être plus visible par le monde.

Inutile de vouloir lutter contre cette surenchère car les informations sur l’exactitude des événements extraordinaire conté par les médias ne sont pas forcément facile à trouver.

Pour donner suite à la surenchère d’extraordinaire notamment utilisé par les journalistes qui ont pour but de choqués les lecteurs. A force d’exagération et de surenchère, le risque de banaliser l’extraordinaire risque d’être inévitable.

Seconde partie : écriture personnelle

Pensez-vous que le sensationnalisme entraîne une surenchère dans l’extraordinaire ?

Le sensationnalisme (qualifié de « journalisme jaune » quand il concerne la presse) désigne l'exploitation systématique du goût d'une partie du public pour le « sensationnel » (« ce qui produit une forte impression de surprise, d'intérêt, d'admiration » par une partie des médias, lesquelles, pour des raisons d'image, d'audience ou de commerce usent de « procédés » consistant à dramatiser certains événements ou éléments d'information par le choix du titre, du vocabulaire, de la typographie, de la photo ou de l'illustration dessinée, par des effets rhétoriques visant à faire ressortir certains éléments (sordides et/ou spectaculaires souvent), pour attirer l'attention des spectateurs ou des lecteurs.

Je pense que le sensationnalisme est un phénomène qui permet donc la surenchère de l’extraordinaire. Ce mouvement de sensationnalisme est fortement exploité par les journalistes, les médias que ce soit les journaux, les actualités sur internet en passant par les articles sur les réseaux sociaux. Il permet, l’extraordinaire à plusieurs éditeurs d’avoir son gagne-pain. Ce sensationnalisme est utilisé chaque jour et entendu, lu ou vu chaque jour par diverses sources avec des « actualités » qui suscitent souvent l’intérêt. Je peux reprendre l’exemple du Journal Libération : « gigantesque tsunami » (L.1 et 2) « D’une violence rare » (L.3) où l’éditeur rend cette catastrophe atypique encore plus qu’elle ne l’est. Enfin ajouté à ceux-là, il y a le bouche à oreille qui peu rendre un événement encore plus sensationnelle puisque souvent l’information qui devient erroné sera surenchérie. Cela est expliqué dans le texte de Régis Debray, Du bon usage des catastrophes, « quiconque communique) un public encore mal informé une nouvelle importante devient lui-même quelqu’un d’important » (L.8 et 9). Enfin, il est donc évident que le sensationnalisme pousse à la surenchère de l’extraordinaire puisque sans cela les éditeurs ne pourraient se distinguer les uns des autres et donc accroître leur notoriété et chiffre d’affaire surtout que c’est l’essence même de la concurrence dans ce secteur.