Culture générale, synthèse de documents sur la guerre et la fête

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Des ressemblances et nuances entre ces deux notions sont à noter d’un point de vue culturel. Apollinaire, écrit sa poésie avec un ton faussement naïf, ironique et émerveillé par tout ce qui se passe : la guerre est belle. Dans sa description, la guerre offre donc un spectacle visuel, avec les fusées, feu d’artifice. De plus un grand nombre de personnes sont réunies. Le regard du poète est extasie face à ce beau spectacle. Au niveau culturel, les deux notions ont des ressemblances au niveau de la beauté. Toutefois, il laisse paraitre des différences implicite entre la guerre et la fête. En effet il laisse paraître que ce spectacle est quand même horrible en mettant en avant la mort dans sa dernière strophe. Par ailleurs, Voltaire, grâce à l’ironie, critique l’esthétique de cette belle guerre qui est en effet horrible, divers éléments le montre : les héros de guerres sont effet des barbares et des meurtriers, le champ lexical de la mort est dominant dans sa description. S’ajoute aux points communs le côté festif que la guerre engendre. L’image de presse l’illustre bien car les petits moments joyeux de cette guerre est devenu un moyen de festivité pour la population. Selon Caillois, la comparaison entre la guerre et la fête se résume au quotidien totalement bouleversé mais aussi du travail commun qui en résulte et qui crée un bloc autour du même effort. Ce rapprochement sociétale est aussi culturel et peut donc être sujet de fête. Toutefois d’un point de vue culturel les fêtes modernes à petits groupes sont un peu différentes car elle n’englobe pas tout le monde

En somme, il est vrai que la guerre et la fête présentent de nombreuses similitudes sociétales avec le but de rapprocher des personnes. Elles créent un meilleur espace communautaire avec un côté festif se rapprochant plus au spectacle mais usent de sentiments totalement différents.