Fiche de lecture: La princesse de Clèves, Mme de Lafayette, 1678.

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Cependant, dans le troisième tome on apprend que la lettre appartient en réalité a l'oncle de Madame de Clèves, le vidame de Chartres, qui vient demander a Monsieur de Nemours d'aller la récupérer en disant que cette lettre lui appartient car le vidame pourrait perdre de nombreuses liaisons en divulguant la vérité. Cependant le duc de Nemours ne le souhaite pas car il a peur de perdre Madame de Clèves donc le vidame lui confit un mot qui confirme que la lettre lui est destiné pour pouvoir prouvé son innocence. Monsieur de Nemours allât d'abord chez madame de Clève pour se justifier et su que la lettre se trouvait en sa possession. La princesse rend la lettre au duc mais la reine dauphine leur demanda de la réécrire. Ils savourèrent ensemble un moment de complicité et d'amusement mais une fois se moment passé la jeune femme se sentit coupable d'avoir eu tant de joie a se trouvé en présence du duc qu'elle décida de se retiré a la campagne. Son mari la rejoint et elle lui révèle qu'elle en aime un autre sous les yeux de monsieur de Nemours caché derrière un buisson. Premièrement monsieur de Clèves fut touché par la franchise de sa femme mais très rapidement il devint jaloux et curieux de connaître l'identité de celui qui avait réussi a conquérir le cœur de sa femme.

Monsieur de Nemours de son coté alla raconter se qu'il avait entendu au vidame de Chartres et celui ci le fit connaître a toute la cour sans nommer les intéressés. M et Mme de Clève s'en accusèrent mutuellement que madame se retira a coulommiers en utilisant la mort du roi pour ne pas se faire remarquer.

Lors du quatrième et dernier tome, Monsieur de Clève avait compris que son rival était monsieur de Clèves et le fit donc suivre. Celui ci se rendit chez madame de Clève mais ne fit que l'observer par la fenêtre deux soirs de suite puis il allât la voir accompagné de sa sœur le duchesse de Merteuil. L'espion alla rapporter les fait a son maître qui ne voulut écouter que la partie déplaisante ayant déjà conclut qu'il était trompé. Il meurt de chagrin en pensant a tord être trompé et sa femme se sentant coupable et honteuse ne voulut plus voir personne et en particulier le duc de Nemours mais le vidame son oncle sous la demande du duc organise une rencontre les amants chez lui. Madame de Clèves lui explique alors qu'elle ne peut l'épouser car elle ne veut pas souffrir de jalousie et elle doit fidélité a son mari. Elle finit sa courte vie partie dans un couvent et partie isolée chez elle.

Analyse : L'évolution de Madame de Clève n'est pas seulement celle d'une jeune fille vers une femme. Elle devient bien plus qu'une femme par sa force et son courage. En effet au début du livre, elle ne connaissait de l'amour que ce que sa mère avait bien voulus lui dire et bien qu'elle l'ai bien instruite, la princesse fut surprise et bouleversé par les sentiments qu'elle éprouva en rencontrant monsieur de Nemours. A ce moment du texte elle se cache à elle même ses sentiment sans doute par incompréhension. Après la mort de sa mère, elle prit conscience que cette amour n'entraînerait que du malheur, ainsi elle dissimula tant bien que mal son amour a tout le monde mais en certaines occasion elle pensa à révéler la vérité à son mari mais ceci lui apparaissait comme une folie. Mais le temps passant et ayant de plus en plus de mal à contenir ses sentiments, elle trouva la vérité comme remède a sa culpabilité et à son amour. Avec cet acte « qu'aucune femme » n'aurait accomplie, elle devient un peu plus un modèle. Mais l'aveu n'eut pas l'effet de détruire ses passions et c'est la mort de son mari qui lui apporta la raison qu'il lui fallait pour se détacher de cette passion et bien que ce fut difficile elle parvint à les supprimer et c'est par cela qu'elle est une héroïne. Une héroïne qui a su vaincre la passion la plus violente et fatale qu'est l'amour.