LA baud

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n°2: Baudelaire «Le désire de peindre»

Le spleen de Paris,

1869

Intro :

Poème qui reprend le thème de la peinture très présent chez Baudelaire : comme dans sa section «Tableau parisien ». Dans ce texte, il évoque la difficulté pour l’artisete de peindre une femme, comme le titre « Le désir de peindre » ; c’est un désir non assouvi.

Le poète veut peindre uen femme qu’il n’a vu qu’une fois : il se rapproche du poème « A une passante ».

1) Portrait de la femme, une femme insaisissable

1.1)Femme insaisissable

Premièrement, nous constatons le caractère fugitif de cette femme : L.2 « si rarement » et « si vite » = il a une difficulté a représenter celle qu’il n’a qu’entrevue.

Il fait référence a un passé qui rend difficle tout représentation car le souvenir l’efface L.3 «  comme il y a longtemps déjà qu’elle a disparu ».

Il la compare L.3 « a une belle chose regrettable » qu’il ne peut percevoire, comparaison qui exprime tout la fugacité de cette rencontre, ce qui rend tout représentation précis problématique.

La dimension insaisissable de cette femme est complété par l’indétermination de l’identité et la désignation de cette femme : grace aux reprises pronominales sur tout le poème « elle » sans que la référence de ce pronom ne sois clairement établie.

L’utilisation du pronom démonstratif « celle-ci » dans le dernier paragraphe montre qu’elle appartient au groupe générale « des femmes » ce qui renforce la difficulté a la préciser.

1. 2)

LA n°2: Baudelaire «Le désire de peindre»

Le spleen de Paris,

1869

Intro :

Poème qui reprend le thème de la peinture très présent chez Baudelaire : comme dans sa section «Tableau parisien ». Dans ce texte, il évoque la difficulté pour l’artisete de peindre une femme, comme le titre « Le désir de peindre » ; c’est un désir non assouvi.

Le poète veut peindre uen femme qu’il n’a vu qu’une fois : il se rapproche du poème « A une passante ».

1) Portrait de la femme, une femme insaisissable

1.1)Femme insaisissable

Premièrement, nous constatons le caractère fugitif de cette femme : L.2 « si rarement » et « si vite » = il a une difficulté a représenter celle qu’il n’a qu’entrevue.

Il fait référence a un passé qui rend difficle tout représentation car le souvenir l’efface L.3 «  comme il y a longtemps déjà qu’elle a disparu ».

Il la compare L.3 « a une belle chose regrettable » qu’il ne peut percevoire, comparaison qui exprime tout la fugacité de cette rencontre, ce qui rend tout représentation précis problématique.

La dimension insaisissable de cette femme est complété par l’indétermination de l’identité et la désignation de cette femme : grace aux reprises pronominales sur tout le poème « elle » sans que la référence de ce pronom ne sois clairement établie.

L’utilisation du pronom démonstratif « celle-ci » dans le dernier paragraphe montre qu’elle appartient au groupe générale « des femmes » ce qui renforce la difficulté a la préciser.

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