LA Kessel L'Equipage

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II- Les désillusions de l’aspirant

Il ne peut être que déçu car un combat ne peut pas intervenir après le décollage. Ces rêves vont petit à petit être anéanti « en vain ». « vide » VS « toujours » Rien ne va apaiser le jeune H, malaise durant le combat « le jeune H ne remarque pas ce qui arrive ». Travailler avec ardeur. Tout le texte précise qu'est ce qui est j'ai sur lui le « maitre des… » Même quand le passager deviendra l'observateur armée la méprise demeurera d’un vigoureux élan. L'avion disparaît de l’observation « désespoir » La première expérience est un échec. H est un fougueux jeune homme ainsi qu’un impétueux soldat mais n’a pas maitrisé le 1e combat. Quand les pilotes et observateurs s’entretiendrons au mes pour se rendre compte de la mission, H commencera a comprendre ce qui s’est réellement passé. Il n'en sera pas calmé mais encore plus conscient de ce qu'il a fait et de ce qu'il a fait de l’autre. Dialogue révélateur d'une réalité qui devient plus évidente. Thélis « et bien vous êtes content, vous l’avez votre combat » H « ce n’est pas un combat, ce n’est rien du tout »; gradation. « compliment le bleu » « la vague inquiétude qui s’empare de lui. C'est deux hommes qui mène souvent des missions ensemble n’arrivent pas à trouver un terrain d’entente. Tout n’est qu’éloge dans les paroles de thélis. Le commandant d'escadrille regarde l’aspirant avec « une sincère admiration » « un fier cran » « il n’a pas bronché » —> il a su garder son sang froid. Un 2e personnage accentuer le malaise, le toubib précédé par l’antithèse « un travail glorieux » « double honte, double lâcheté ». Il a honte, une honte qui peut encore se cacher. Le toubib qui arrive le dernier va accentuer le désordre moral dans lequel est abîmé H à quel point il manque de s’évanouir « se sentit prêt de défaillir ». Le jeune homme prend encore plus conscience jusqu'à l’humiliation. Il y a épargné l’ennemi « il avait tiré sur un camarade » —> antithèse ou se dévoile la honte ressenti par le jeune H. Le dialogue avec thélis est impossible la tragédie ce qui aurait pu abattre un avion de l’escadrille confine au burlesque ≠ héroïsme. (burlesque: qqch de grave tourné au ridicule)

Conclusion: ce passage satisfait au récit d’action. La guerre est montrée dans ce qui la constitue, l'aventure est humaine et partagé par des considérations diverses. On trouve ici l’une des rares pages consacré à un combat aérien. C'est un roman classique dans lequel le narrateur ne se préoccupe des sentiments. C’est un passage d'initiation dans la mesure où le personnage principal encore tout apprendre de la guerre.