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Exposé: le concept racisme et touts ses prérogatives dans le roman ‘’les fantômes du brésil" de Florent COUAO-ZOTTI

Par   •  16 Avril 2018  •  1 645 Mots (7 Pages)  •  818 Vues

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nourrirent le commerce des négriers. << Si nous sommes recroquevillés sur nous, se justifiaient-ils, c’est parce que vous ne nous inspirez pas le plus digne des sentiments oui, à celui qui a vendu notre père au Blanc, on ne peut pas lui adresser des sourires de félicitation. à celui qui a échangé notre mère contre de la pacotille, on ne peut pas tresser autour de sa tête des couronnes de César. À celui-là, seule la réserve suffit pour le tenir hors champ.la réserve, quand ce n’est pas le rejet>>.autre passé ces raisons, les Agoudas estiment accorder beaucoup d’importance à leurs descendance.se serait une humiliation de subir un métissage avec un Ouidahen. Ce n’était pas du racisme, disent-ils, juste une logique qui veut que la victime encore mal dans ses plaies, encore tuméfiée à l’intérieur ne donne la main au bourreau inconscient de ces torts et de ces crimes.

2- RESUME SUR LA MANIFESTATION DES DEUX MONDES EN OPPOSITION

Dans ce roman est évoquée l’indignation de la famille do Mato (Mme Juliana Mato et ces enfants (Fulgencio, Eugenio et Octaviano) par rapport au choix conjugal de leur fille do Mato Anna-Maria Inès Dolores. Ici la famille do Mato ne veule pas qu’il y est mélange d’autre sang a leur sang. leur fille Anna-Maria qui voulais comme mari pierre, mais qu’il n’est pas de les leur (race) la famille s’y oppose d’ou conflit commence entre les deux famille. Au début de l’histoire maman pipi (Géneviève) se sentait mal de ne pas pouvoir dire a son fils qu’une telle décision (d’épousé la jeune fille agouda) pourrait lui causé d’effets négative. Mais l’amour était fort et régnait dans le cœur des deux amants. Pierre qui ignorait qu’il ne pouvait rentrer dans le scénario des goudas, car pierre de son prénom, Kuassi de son petit nom, Kpossou de son patronyme indigène, n’avait aucune chance de plaire aux do Mato. A sa place ils devraient un mari, un homme de bonne famille, un afro-brésilien à leur fille.

Pour les do Matos, il s’agira d’un péché s’ils laissaient leur fille épousé pierre. Pour déstabiliser la jeune de sa décision voici les stratégies utilisé. Des questions, je cite:<<sais-tu, ma petite chérie, de quel ventre de mère tu es sortie? Tu ne sais rien de ton père non plus, ma chérie? Rien de la famille ni de tes origines? Tu ne connais pas la qualité du sang qui circule dans tes veines? >> demanda la mère (extraire du IV à la page 46). Des conseils de la part de Fulgencio. Je cite <<nous sommes des brésiliens de Bahia, c’est la ville et l’odeur du sang de ceux qui ont refusé l’esclavage et indignité. Comment peux-tu piétiner deux siècles de souffrances, d’humiliations, de lutte pour un stupide jeu de caleçon? Que connais-tu de ton corps (page 48) <<ton minable d’amoureux, le connais-tu? Tu sais de quelle boue il sort? Non, frangine: la famille ne mérite pas ce double déshonneur... Non seulement il est de la mauvaise souche, mais ses ancêtres ont été les serviteurs zélés des négriers etc. (page 49).

Proposition de mari. Pour la mère Orlando Carlos Oquianoh (un Agouda) est l’un des bons maris qu’il faut pour Anna-Maria. S’il faut la force pour ramené Anna-Maria sur leur décision ils ont fait, car ils n’étaient pas de la race de ceux qui se laissent convaincre. Les frères do Mato ont usé de leur force pour fait comprendre qu’il n’est pas faire pour leur sœur. Ce non au mélange de sang est cause de plusieurs phénomènes, dont la violence, le racisme, la mort ou la vie etc. aux deux jeunes amoureux.

III-LES CONSÉQUENCES DES DEUX MONDES EN OPPOSITION

Plusieurs conséquences résultent de ce refus de mélange du sang. On enregistre des mésententes entre les deux familles, une vie sociale fragile et lacunaire. D’autre part la désobéissance des enfants. Notamment la rébellion des deux amants contre leurs familles respectives. La mort des deux héros pas suicide.

CONCLUSION

Dans le monde il n’existe qu’une seul race : "c’est la race humaine". On n’a pas le droit de se baser sur les différences physiques, de couleur de la peau, traite de visage, la taille.... On ne peut diviser l’humanité de manière hiérarchique, c’est à dire en considérant qu’il existe des hommes supérieurs par rapport à d’autres hommes qu’on mettrait dans une classe inférieure. N’autrement dit, on n’a pas le droit de croire, et surtout de faire croire, que parce qu’on est blanc de peau qu’on a des qualités supplémentaires par rapport à une personne de couleur. On est tous égaux, on a tous du sang de la même couleur qu’on est une peau rose, blanche, noire marron ou même jaune. Personne ne peut humilier une autre personne, chacun à droit à sa dignité. L’essentiel pour nous est le respect des autres. En effet, de nos jours, aucune des deux formulations du racisme ne nécessite le rejet de l’universel, ni la négation de l’égalité, au contraire. L’une avance l’égalité entre groupes (dits «races», «cultures», «identités», «religions» etc.) en tant que fondement de l’universel, à l’instar de la pensée différentiabilité. L’autre l’égalité individuelle, à l’instar de la pensée universaliste. Mais les deux font de cette égalité un dogme et l’érigent en Valeur suprême. C’est pourquoi dans les deux cas, l’individu réel, la «personne» incarnée et située dans un contexte, est complètement gommée, bafouée, dévalorisée. Il faudra donc de toute urgence à l’antiracisme réel trouver les moyens de réaffirmer la valeur essentielle de «la personne», dont le modernisme réclamait avec raison l’émancipation. Mais pour ce faire, et pour trouver les arguments qui se prêtent le moins possible à des dérives, il faut à l’antiracisme connaître les caractéristiques de base de ces dernières.

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