Themis

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C’est kant qui distingue autonomie et l’hétéronomie ( subit une loi donnée par l’extérieur)

Autonomie fait apparaitre une redondance, car nomos signifie une règle que le peuple se donne lui-même. Si nous parlons du nomos, nous sommes face à une notion porteuse d’égalité mais d’origine politique.

= Nous allons chercher chez les grec un modèle pur.

Chercheur grec indique que c’est l’énigme de la société autonome. Ainsi la démocrati est un régime sans aucune norme extérieur a lui-même, en tout cas politiuqe et administrative.

Nous avons une oracle démocratique, une assemblée du peuple tout entier qui est législatif mais ils ne sont pas tourné vers les dieux, ils le font par eux meme.

La prudence des grecs est une connaissance pour ces derniers.

RETENIR : il y a une science quand la cité légiférée, car il y a un lien fort entre la loi et la raison. Quand on fait ordre de raison, on ne fait pas appel aux dieux comme la loi.

= apparait comme le disait Aristote une science des lois.

Le nomos n’est pas non seulement la coutume du droit non écrit, au contraire à la fin la notion acquéri cette perception de droit écrit. Mais ceci arrive très tard, vers le 5éme siécle.

Autrement dit le droit non écrit et écrit naissent ensemble.

Plus la société se juridicise plus on va vers le nomos, ainsi e dernier est le résultat et l’essor du juridique et du politique.

B) le nomos et la philosophie

- Nomos et diké

Diké est un nom commun désignant justice mais une justice se prétend à la convention humaine.

La diké d’abesse, quant à elle peut également désginer une action en justice.

On trouve des dérivés commes dékeios ou encore todikaion qui à le caractére d’etre juste.

Les dikaistes = les magistrats.

- Les enseignements de la linguistique comparée

Le vocabulaire est une source et nous sommes allez chercher dans les langues d’indes, ou encore asie le renvoi au diké.

Ainsi diké en grec renvoi à un droit interfamilial, communauté contrairement à la thémis qui renvoi au droit familial, droit interne à la famille.

Dans les usages classiques nous sommes dans la désignation de la justice, indépendamment des circonstances ou de l’application. Mais également la justice que nous pouvons exprimer, avec une certainE autorité.

Le droit formulaire = droit qui s’exprime sous forme de formule.

A rome, quand un procés devait avoir lieu, le preteur délivré une action sous forme de formule ue nous devions presenter au juge qui jugé sur cette dernière.

C’est dans ce droit que la formule contient la justice.

Ainsi diké est un droit formulaire.

Diké renvoi aussi à des usages, qui ont une relation avec l’ordre du monde. Dans l’odysée, la mere d’ulysse aux enfers affirme qu’il ne peut la toucher car c’est la diké qui s’applqiue aux mortels. Ceci doit se traduire comme la norme applicable a la condition humaine = c’est donc une formule qui fixe le sort.

Attention la diké ne veut jamais dire la vertu de la justice. La diké renvoi à la justice insitutionnalisée.

- La confrontation entre diké et nomos

Arstore = le juste n’existe qu’entre ceux dont les relations mutuelles sont sanctionnées par le nomos. Nous sommos liée par la jsutice que quand il y a du nomos, une loi. Ainsi il y a la diké que quand il y a du nomos.

= Dikaion phusihon le juste selon le naturel et dikaion nomikion le juste selon les lois.

- Nomos et phusis

- Philosohp

Strauss dit qu’il y a deux notions importantes : phusis donnant physique et nomos. Quand on opposent il apparait la philosophie ;

= Quand qq emploi le mot nature c’est qu’il chercher à imposer qqch, la nature n’étant pas le résultat de la convention, n’est pas le résultat d’un accord.

= Alors que le phusis c’est qqch de vrai independamment de toute convention.

La seule vérité vrai résulte d’un accord qui n’a pas de résultat