Quelles sont les conséquences de la conquête et de la colonisation espagnoles sur Mexico et sa population ?

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Les Espagnols ne s’arrêtent pas à mettre des signes religieux partout dans la ville après avoir détruit ceux des Aztèques. La société change de religion, les Espagnols veulent convertir les Aztèques à leur religion en leur faisant rentrer des idées en tête : « J’écoutais le catéchisme tous les sept jours […] ils nous disaient d’abandonner nos idoles. ». Seulement, l’arrivée des Espagnols a entrainé des maladies chez les Aztèques car leurs corps n’étaient pas protégés à ces maladies et la population a considérablement baissé. La main-d’œuvre a vite manqué pour exploiter les richesses que l’on peut retrouver dans les marchés quotidiens. Une nouvelle population arrive en Amérique : C’est le début de la traite des Noirs.

Des Aztèques se sont rebellées face à ces entreprises des Espagnols. En désaccord avec les discours des frères, ces derniers « ne valaient rien ». « Tout ce que disent les frères n’est que mensonge et fausseté. » Ils trouvent tous ces sermons complètement faux et inutile. Les Aztèques ne veulent pas croire en ce dieu dont les chrétiens parlent : « Nos pères, nos grands-pères ont-ils connu ces religieux ? », « Ont-ils vu ce dieu dont ils parlent ? ». Face à cette résistance des Aztèques, les Espagnols ont montré leur mécontentement et se sont imposés par la violence en infligeant des punitions aux Aztèques qui osaient se rebeller. Ils se faisaient attachés, fouetter et subissaient d’autres châtiments.

En conclusion, nous pouvons dire que la conquête de l’Amérique par les Conquistadors a des conséquences positives comme négatives. La religion du peuple Aztèque a été remplacée par celle des Espagnols, la religion chrétienne. De plus, elle a entraîné la disparition du peuple Aztèque et de sa culture. Cependant, un nouvel empire puissant avec de nouvelles connaissances apportées d’Europe est né. Et cette conquête a, avant tout, fait découvrir de nouvelles choses aux Européens, de nouvelles terres par exemple.

Le corpus documentaire a un point de vue subjectif en général. Le premier document ne possède pas de sources. On ne connait donc pas l’auteur et on ne peut pas savoir statut, donc son point de vue. De plus le texte n’est pas daté. Le second document est un récit Aztèque recueilli par un missionnaire espagnol en 1577. Quelques années se sont déjà écoulées depuis la conquête par Cortés. Le point de vue est subjectif car l’Aztèque qui a parlé possède son propre point de vue sur les événements et l’homme qui les a retranscrits a pu les modifier pour y indiquer son point de vue. Le dernier texte est un texte d’historien espagnol, datant de 1581. Là aussi, la date est éloignée de celle de l’événement. De plus, un historien a très souvent son propre point de vue qu’il sous-entend ou dit clairement dans ses écrits.