ORDINATION IMPERII

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Nous pouvons observer qu'il est aux services de l'église « en tout dévouement et fidélité » et soulève à plusieurs reprise sa volonté de la préserver de manière durable, il veut que l'église soit respecté de tous « n'éclate un scandale dans la sainte église » « de la tranquillité de l'église » « la sécurité de l’église ».

Les conseillers ecclésiastique une foi de plus des parties prenante interne du pouvoir impérial. Mais quand est-il de l'empereur ?

Le sacre de Louis Le Pieux par Étienne IV à Reims, est un moment capitale dans l'engagement religieux mais aussi politique de celui, cette événement est bien plus important qu'un simple baptême, l'onction du Roi lui permet de prouver sa fidélité envers Dieux est devient lui même représentant de celui-ci sur Terre « au nom de Dieux ».

Dès ses premières ligne Louis Le Pieux parle de Dieux, il introduit son capitulaire de cette manière c'est une preuve incontestable de l'importance qu'il porte à Dieux.

« Au nom du Seigneur Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ » Ce roi pieux va invoqué 2 fois le terme providence, acte par lequel Dieu, dans sa Sagesse, conduit toutes ses créatures vers la perfection à laquelle il les a appelées. Il se sent alors l'homme capable de conduire son peuple « par la divine Providence ». Le fils de Charlemagne se sent inspiré par Dieux, il ressent sa volonté et veut la retranscrit car pour lui il en est le seul capable« inspiration divine » « volonté divine »

Nous pouvons également observer que Louis Le Pieux considère que de nombreuses circonstances et des événements qui rythme son empire et les autres royaumes son à l'origine de la volonté de Dieux « alors que nous étions en bonne santé et que Dieu nous concédait la paix de tous côtés » « l'unité de l'empire qui nous a été conservé par Dieu » « commettions une offense envers celui au pouvoir de qui se trouvent les droits de tous les royaumes »

L'empire veut alors se détacher des traditions Francs, pour pouvoir affirmer ses propres convictions. On assiste à une mutation de l'empire avec un nouveaux mode de transmition du pouvoir (a) et des traditions toujours présente malgré tous (b)

Le nouveau mode de succession mit en place, est une transmission du pouvoir à l'aîné c'est que nous allons appelé le droit d’aînesse, ce capitulaire le met en place de manière explicite ; la couronne ne revient que à un seul fils l’aîné c'est la fin de la division du royaume, fin des guerres de succession. Ce met en place une nouvelle période, c’est une nouvelle dynastie qui va s'étendra jusqu'à la révolution. C'est Lothaire qui va alors possédé le pouvoir à la mort de Louis "couronné du diadème impérial et devenir notre associé et notre successeur" en ce qui concerne les frères de Lothaire ils vont être dispersé dans le royaume et vont possédé des petites royauté mais devront toujours être soumit à leur ainé ce qui va entrainé de nombreuses rivalité,« les distinguer par le titre royal et de les établir dans les pays ci-dessous désignés », « sous la puissance royale de leur frère aîné » et nous emmène également à relever le contraste entre l'indivisibilité du titre impérial et la divisibilité du territoire. Ce qui donne à ce texte une valeur normative ce sont les articles (1,2,18) noté, de manière à rendre cette nouvelle transmission du pouvoir obligatoire « selon les articles notés ci-dessous où se trouve renfermée cette condition que nous avons établie entre eux. » « les consigner par écrit et de les confirmer par nos propres suscriptions manuelles »

Par ces écrits, Louis le Pieux et les ecclésiastiques désirent faire de l’Ordinatio Imperii un texte formel qui se doit d’être respecté.

Malgré cette rupture avec les traditions, nous pouvons observé que les coutumes francs sont toujours présente malgré la volonté de l'empereur.

Nous pouvons observé que les coutumes de l'aristocratie ainsi que les usage sont de nombreuses fois répété. Il y a en quelque sorte une perpétuité de la culture germanique malgré ce changement de pouvoir.

« l'usage de nos parents' » « l'usage solennelle » « selon l'usage accoutumé »« Notre fils, par un vœu commun, devait être selon l’usage usuel, couronné du diadème impérial »