Christophe Colomb.

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Ils sont donc propres à être commandés et à ce qu’on les fasse travailler, semer et mener tout les autres travaux dont on aurait besoin, à ce qu’on les fasse bâtir des villes, à ce qu’on leur enseigne à aller vêtus et à prendre nos coutumes.

En mer, le 15 février 1493

J’ai trouvé aux Indes quantité d’îles peuplées et j’en ai pris possession pour Leurs Altesse et sans que nul n’y contredit […].

Hispaniola est, ainsi que toutes les autres îles, fertile […].

À l’intérieur des terres, il y a maintes mines de métaux et d’innombrables habitants. Hispaniola est une merveille : les montagnes, les plaines et les vallées, les terres si belles et grasses, bonnes pour planter et semer, pour l’élevage des troupeaux de toutes sortes, pour édifier villes et villages. […]

On trouve beaucoup d’épices, de grandes mines d’or et d’autres métaux.

Commentaire:

D’après le texte, C.Colomb découvre une terre nouvelle pleine de richesses qu’il appela Hispaniola.

Il y trouva de l’or, des épices,et surtout une terre fertile.

Les indiens n’étaient d’aucune religion, C.Colomb pouvait donc facilement les convertir au Christianisme.

Le peuple indiens n’a pas d’armes, aucun génie pour le combat, et peuvent être facilement commandés pour accomplir tout les travaux dont il aura besoin.

C.Colomb suggère alors de proceder à la colonisation des terres nouvelles qui se révèlent fertiles et dispose d’une main d’oeuvre indienne abondante.

Retour de Christophe Colomb à la cour d’Espagne.

Cette gravure date de 1493.

Au premier plan C.Colomb expose les richesses rapportées d’Hispaniola, de l’or, des étoffes, des fleurs..

Au deuxieme plan C.Colomb face au Roi et à la Reine d’Espagne raconte son périple. la cour du Roi l’écoute attentivement.

Derriere lui, des indiens accroupis et immobiles semblent attentifs et peut être un peut craintifs

Ils sont exposés comme preuves du voyage effectué.

Au troisieme plan Nous voyons la salle du trône richement meublée et la foule pressée pour écouter le récit de Colomb.