ECO 2011 TN2
Par Christopher • 26 Janvier 2018 • 2 746 Mots (11 Pages) • 471 Vues
...
La scolarisation de la main d’oeuvre
La population des 25-64 ans et leurs plus hauts degrés d’études atteint, comparaison entre la région des Laurentides et celle de Montréal, 2010 et 2014 [2]
Laurentides Montréal[3]
Niveaux d’études 2010 2014 2010 2014
% % % %
Sans Diplôme
18.6%
17.2%
11.3%
9.0%
D.E.S
25.6%
21.6%
17.0%
18.0%
D.E.P
17.5%
23.0%
9.3%
9.1%
D.E.C
21.5%
20.8%
18.1%
17.9%
Certificat Univ.
3.8%
17.4%
44.3%
46.0%
Cert.Univ et +
10.0%
3.3%
4.5%
3.6%
Bac
3.1%
11.0%
25.9%
28.3%
Bac et +
3.1%
3.1%
13.9%
14.1%
Ainsi, ces chiffre confirme la position avantageuse dont bénéficie Montreal avec sont centre urbain dense et sont économie diversifié; elle bénéficie ainsi de la plus grande majorité des établissements d’enseignement supérieur et de nombreux services publiques et gouvernementales ce qui le place au dessus des Laurentides pour le nombres de diplômé et du taux d’emploi. Ainsi, il devance de beaucoup les Laurentides avec un taux relativement bas de non-diplômés soit 9,0% comparativement au Laurentides qui compte 17,2% de non-diplômés en 2014, un pourcentage qui baisse d’un point chaque années en moyenne. Une autre différence notoire se situe dans le degré de scolarisation atteint puisqu’une majorité de diplômé de Montréal semble atteindre en plus grand nombre les grades universitaires comparée aux Laurentides ou la tendance se tourne vers les D.E.S, D.E.P et D.E.C ce qui semble suivre la proximité des centres de formation et établissement scolaire dans les deux cas. Les grade de certificat universitaire connaissent une nette amélioration comparativement à 2010 pour les Laurentides ou le taux se situait a 3,8 pour atteindre 17,4% en 2014. Ces chiffre ne sont pas surprenant, Montréal compte presque la moitié de la population québecoise et se situe dans une zone favorable à son expansion, bénéficiant d’importantes voies naviguables comme le fleuve St-Laurent, il est donc naturel que les infrastructures publique comme les établissements d’enseignements supérieur se situe dans ces région et en fasse bénéficier la population environnante. L’inverse se remarque aussi dans les Laurentides ou les centre urbain moins dense et développé comporte peu de centre collégiale et aucun établissement ou pavillon universitaire donc possiblement moins de diplômer du à la distance et l’accessibilité. De plus, ceci pourrait expliquer indirectement le taux plus bas de la population des 15-24 ans dans la région, qui doit probablement devoir migrer pour poursuivre des études. Néanmoins, selon Le bulletin statistique régional des Laurentides de 2015[4], cette région demeure celle ayant le moins de diplômés collégiales et de formations techniques et ce pour l’ensemble du Québec en 2008, soit 57,9% et 57,5% seulement de ceux inscrits parviennent à la diplômation, ce qui est un niveau relativement bas si on le compare à l’ensemble du Québec qui tangue entre 65,8% et 64,0% à la même année. Par contre, une certaine amélioration se remarque dans les grades de Bac universitaire qui sont en hausses depuis 2010, atteignant les 1479 diplômés. par années. les études supérieurs par contre ne subissent aucun changement, stagnant à 3,1% depuis 2010. Autre fait non négligeable, l’augmentation des femmes qui se retrouvent en plus forte proportion dans les tranches des 65 ans et des 75 ans et plus. Ainsi, les femmes vivent possiblement plus longtemps que les hommes et cette tendance se remarque pour l’ensemble du Québec ainsi que pour Montréal qui connaît un taux plus élevé de femme dans sa population des 54-75 et plus.
Question 2
Produit intérieur brute(PIB) au prix de bases, variation(%)annuelles sur les quatre dernières années.[5]
Laurentides Ensemble du Québec Écart
2011-2010
2.0%
4.5%
-2.5%
2012-2011
3.5
3.0
0.5
2013-2012
2.1
1.2
0.8
2014-2015
2.7
2.8
-0.1
Si nous poursuivons les observation en se penchant sur le cycle économique régionale, une sensible augmentation de 0.7 point, de 2010 à 2014 pour les Laurentides, comparativement à l’ensemble du Québec qui connaît une diminution par rapport
...