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Le jeu de l'amour et du hasard, Thérèse Desqueyroux

Par   •  7 Octobre 2018  •  1 911 Mots (8 Pages)  •  915 Vues

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commentaire sur le chapitre 6 :

Jean Azèvedo est un parisien cultivé et volubile qui fascine son auditoire. Il incarne une idée de liberté.

Chapitre 7

Thérèse est rentrée et Bernard lui annonce qu'il était anémique et qu'il allait suivre un traitement. Il s'était rendu chez un spécialiste à Bordeaux : son traitement est à l'arsenic. Quelque temps après elle à revu Jean, qui lui à annoncé qu'il allait quitter Argelouse. Thérèse aide donc Jean à écrire une lettre de rupture à Anne. Les deux se rapprochent (Thérèse et Jean). Anne rentre à Argelouse 2 jours après, elle à fuit pour le retrouver mais il était déjà parti. Elle souffre terriblement et accuse Thérèse de l'avoir trahie. Bernard se réveil et reproche à sa petite sœur son comportement. Il l'enferme dans sa chambre conformément au décision familiales.

Commentaire sur le chapitre 7 :

Jean exerce une forme de fascination sur Thérèse et contribuera à lui rendre son mari encore plus odieux.

Chapitre 8

La solitude de Thérèse était présente pour la jeune femme et accrue par le fait qu'elle avais l'impression de n'être rien de plus que la porteuse de l'enfant Desqueyroux. Elle écrit à Jean mais ne reçois aucune réponse. Tout les regard se porte sur l'enfant qu'elle porte. Lorsqu’elle accouche de sa fille Marie, elle ne ressent que très peu d'attachement par elle.

Un jour d'incendie de forêt, Bernard, préoccupé prend plusieurs fois sa dose d'arsenic. Thérèse n'intervient pas. Le soir le médecin est appelé au chevet de Bernard, Thérèse ne mentionne pas la prise excessive d'arsenic. Les jours suivent, elle se met à empoissonner son mari régulièrement en ajoutant des goûtes d'arsenic dans sa boisson. Un médecin se rend compte de l'empoissonnement et découvre que Thérèse utilisait des ordonnance falsifiées pour obtenir des doses supplémentaire de médicament.

Chapitre 9

on retourne au temps présent. Le trajet de Thérèse prend fin. Elle arrive à Argelouse où l'attend Bernard. Ferme et intransigeant, ce l'informe froidement des nouvelles règles : Thérèse sera condamnée à rester dans sa chambre, loin de sa tante Clara et de sa fille Marie.

Pour sauver les apparence de leur union, ils apparaîtrons ensemble à la messe du dimanche. Si elle songe à s’enfuie, la famille la dénoncera à la justice.

Commentaire sur le chapitre 9 :

Le déplacement en train de Thérèse fut l’occasion d'un retour sur son passé. Des chapitres 2 à 9, elle ci préparée sa défense en cherchant à puisé dans ses souvenirs les raison de ses actes. Au moment où elle retrouve Bernard le roman reprend un cours chronologique. Des chapitres 1 à 9, Thérèse souhaite se confesser à Bernard afin de reprendre une vie commune avec lui. Or, à son arrivé Bernard refuse de l'écouter et prononce le verdicts familiale : les retrouvailles sont manquées et leur vie de couple définitivement détruite ;

Chapitre 10

Thérèse va chercher un flacon de poison qu'elle avait gardée dans son manteaux et songe à se suicider. A ce moment, Baliante, la servante entre dans sa chambre et lui annonce la mort de sa tante Clara.

Chapitre 11

Pour Thérèse, les journées à Argelouse sont interminables. Elle fume beaucoup, seul la messe du dimanche lui apporte un léger reprit. En novembre Bernard par pour Saint-Clair et dispense à Thérèse de la messe. Les La Trave ont fait courir le bruit que Thérèse est neurasthénique et à besoin de vivre seul.

L'état de Thérèse empire : elle se nourrit peut, ne cesse de fumer, reste au lit toute la journée imaginant une autre vie qu'elle pourrait mener à Paris, avec Jean Azèvedo.

Commentaire sur le chapitre 11 :

La séquestration de Thérèse matérialise l'enferment familiale dont souffre Thérèse depuis son mariage. Les images de l'incarcération sont nombreuses dans le roman.

Chapitre 12

Une lettre de Bernard annonce sa venue pour la fin décembre. Il accompagné de sa mère, d'Anne et du fils Deguilhem qui tient a rencontrer Thérèse avant de se fiancé avec Anne. Dans sa lettre Bernard ordonne de faire bonne figure lors de cette entrevue sous peine de sanction. Lorsque la famille et Deguilhem arrivent à Argelouse, Thérèse est exsangue, le visage rongé. Elle s'évanouit.

Bernard prit de pitié, décide de rester à Argelouse pour soigner Thérèse et lui rendre sa liberté.

Chapitre 13

A la fin du roman, Bernard questionne enfin Thérèse sur les motivations de ses actes. Cette dernière hésite à livrer la confession préparée, mais l'ironie, et certainement la certitude de ne pas être écoutée et comprise prenant le dessus. Par ailleurs, elle sait que sa quête pour comprendre ses actes est vaine : les mobiles de ses actes demeurent opaques. Thérèse ne se livra donc jamais.

Commentaire sur le chapitre 13 :

Un matin de mars, Bernard et Thérèse sont assis sur la terrasse d'un café Parisien. Thérèse va commencer une nouvelle vie alors que Bernard va bientôt rentrer à Argelouse. Au moment de partir, Bernard interroge Thérèse : Pourquoi a-elle voulue l’empoissonner ? Il sait maintenant que c'était pas pour ses pins. Est-ce parce que elle le détestait ? Thérèse songe à la confession qu'elle avait préparée dans le train. Elle essai de lui dire la vérité : tout d'abord qu'elle ne connaît pas la raison de ses actes, l'idée lui est venue lors de l'incendie à Mano où elle avait l'impression, alors, de céder à un devoir. Mais Bernard ne la croit pas, pendant qu'elle se moque de lui. Il rappel a Thérèse qu'elle reviendra à Argelouse que pour les événements familiaux puis la quitte. Thérèse seul rejoint la foule de Paris, marchand au « hasard ».

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