Fallingwater house

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-le bruit de la cascade est omniprésent, il résonne dans toute la maison.

Wright a voulu exprimer la sérénité, créer une maison qui place l’homme en étroite harmonie avec la nature. Cette dimension de l’intimité de la relation entre l’homme et du paysage était profondément ancrée en Wright. « Je pense que rien n’a jamais égalé la coordination, l’expression compatissante du grand principe de repos, où la forêt, la rivière, la roche et tous les éléments de structure s’associent si tranquillement que vous n’entendez vraiment aucun bruit en dépit de la musique de l’eau. Mais on écoute Fallingwater comme on écoute le calme de la campagne. »L’environnement est un point fort de son style. Il joue avec les éléments naturels du paysage, allant jusqu’à incorporer l’aménagement paysager dans les plans qu’il remet à ses clients. Il conçoit des espaces de vie (extérieur/intérieur) qui modifie la relation des habitants à leur habitat.

Conclusion :

Aujourd’hui Fallingwater house est un musée. Elle a été classée comme monument national et on peut y célébrer des mariages, faire des conférences.

Au terme de cette analyse de la Maison sur la cascade, nous pouvons constater que l’édifice fusionne presque parfaitement avec son environnement en s’adaptant à celui-ci et la structure est constamment en mouvement grâce aux divers systèmes de circulation du naturel, la rendant alors semblable au vivant. Pour toutes ces raisons nous pouvons affirmer que la Fallingwater House est une architecture organique. J’ai choisi ce sujet car l’architecture m’intéresse. Il y a quelques années j’ai visité une villa de César Manrique à Lanzarote. Il a intégré son architecture dans un milieu naturel volcanique. Une maison semi souterraine avec des couloirs creusés par la lave.

Là, au milieu de ce bout de nature, les êtres humains échappent aux troubles qui saisissent l’âme égarée au milieu de nulle part.