Histoire des Arts, oeuvre 99, Gursky.
Par Christopher • 22 Mai 2018 • 809 Mots (4 Pages) • 1 017 Vues
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Seconde partie : interprétation
Quel message l'artiste veut-il faire passer ?
'' Marcher dans les allées d'un supermarché, paradis de l'achats impulsif et déraisonable. ''
A travers son oeuvre, Gursky dénonce la société de consomation, lieu où le client vient assouvir ses pulson dépensière. Le supermaché devient le lieu où l'homme devient l'esclave de la société de consomation sans qu'il en prenne conscience. La photographie peut nous donner l'illusion du publicité qui incite à acheter, mais aussi l'illusion d'une caméra de surveillance. D'après cette oeuvre on pourrait en conclure que le client n'est pas une personne mais une machine à acheter.
Comment délivre-t-il son message ?
Les couleurs dominante de cette oeuvre sont : le bleu, le rouge,le jaune, vert ... des couleurs vives, chaudes, positives, les couleurs sont quasiment criardes. On peut en conclure qu'il met la société de consomation en valeur, mais gursky dénonce la société de consomation en utilisant des couleur positif, joyeuses, il créer une sorte d'opposition. Nous avons l'impression que les clients ne sont que des ombres qui errent au milieu de cette multitude de produit et des marques. Lesclients sont en noirs ou en blanc, nous avons l'impression que la société de consomation et dominante, vainqueur, qu'elle à réussit à instauré sont pouvoir d'achat, tandis que les humain sont sous la domination de la société de consomation, ils ont la tete baissé, ils sont dans l'ombre de celle-ci.
Conclusion : signification du tableau.
99 cent est une photographie de dénonciation contre la société de consomation. Gursky regardant les économie diminuer dans les années 1990 à voulu dans cette photographie montré que l'homme est l'esclave de cette société, il est sous sont influence sans sans rendre compte, le point de vue et les couleurs jouent sur cette dénonciation, les acheteurs sont '' caché ''alors que les produits sont mit en valeur, on voit comme une victoire de la société de consomation, elle domine les humains qui en sont prisonniers.
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