Synthèse DOUDOU

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le sentiment de solitude. Dans Le portable, doudou envahissant des grands, (Martine Laronche, Le 5 septembre 2010), en effet, ce dernier nous empêche de nous sentir seul. Nous nous endormons avec le smartphone près de nous, et quand il nous arrive de l’oublier, c’est la panique. C’est pourquoi, avec le portable nous avons la capacité d’être seul, sans vraiment se sentir seul. Dans La Nouvelle République.fr (Francis Martin, 24/07/2014), le portable permet de se sentir moins seul, du fait qu’en quelques simples gestes nous entendons la voix d’un être cher, il nous permet aussi de voir des photos que l’on aime, d’envoyer des messages aux personnes que l’on souhaite, ou bien même de jouer à des jeux pour nous consoler. Toutes ses choses nous permettent de nous sentir moins seul, et de rester en contact avec nos proches. Dans Des jeunes avec leur portable (Innamorati/ Sintesi/ Sipa, 2010), le téléphone comble le sentiment de solitude, car il est plus simple de pouvoir contacter ses proches et même ses amis, à n’importe quel moment, n’importe où. Dans L’addiction des adultes au portable (Getty, 2013), le téléphone permet de contacter des personnes, cela aboutit à une discussion qui permet de se sentir moins seul.

Nous avons vu, que le téléphone portable est représenté comme étant un doudou moderne, qu’il nous fait donc régresser, nous donne un sentiment d’omnipotence, et qu’il comble le sentiment de solitude. Nous verrons donc, que le téléphone portable est un objet addictif.

Le téléphone rend dépendant des autres. Dans Le portable, doudou envahissant des grands, (Martine Laronche, Le 5 septembre 2010), le téléphone rend dépendant des autres car nous nous endormons avec le téléphone près de nous, pour pouvoir être contacté par nos proches, pour pouvoir envoyer des messages. On peut dire aussi que nous sommes dépendant car, au moment où l’on contacte une personne il faut que celle-ci nous répondent de suite. Les personnes ne supportent pas que leurs interlocuteurs ne répondent pas à leurs appels. Dans La Nouvelle République.fr (Francis Martin, 24/07/2014), le portable serait un remède contre l’absence de l’autre. En effet, le fait d’avoir quelqu’un au bout du fil nous rassure. Dans Des jeunes avec leur portable (Innamorati/ Sintesi/ Sipa, 2010), nous pouvons voir des jeunes avec leurs téléphone à la main. Beaucoup de parents achètent des portables à leurs enfants pour se rassurer. En recevant un appel de leurs parents, les enfants ont en quelque sorte l’obligation de répondre, car ils rassureront leurs parents. Dans L’addiction des adultes au portable (Getty, 2013), nous apercevons des adultes, dans un cadre professionnels. Ces personnes ont l’obligation de répondre à leurs clients. Ils sont donc dépendants du téléphone.

Les relations réelles sont délaissées au profit des virtuelles. Dans Le portable, doudou envahissant des grands, (Martine Laronche, Le 5 septembre 2010), beaucoup de personnes préfèrent les relations virtuelles aux relations réelles. En effet, certains préfèrent la communication derrière un écran car ils sont timide, où bien d’autres préfèrent se rencontrer. D’autres préfèrent discuter derrière un écran plutôt que la vraie rencontre. Dans La Nouvelle République.fr (Francis Martin, 24/07/2014), les relations virtuelles rassurent mais ne remplace pas la réalité de l’autre. En effet, la présence de l’autre est nécessaire à toute personne. Dans Des jeunes avec leur portable (Innamorati/ Sintesi/ Sipa, 2010), les relations virtuelles permettent aux jeunes de discuter entre eux malgré la distance. Dans L’addiction des adultes au portable (Getty, 2013), les adultes peuvent être en contact avec des clients qui se trouve à l’autre bout du monde. Cela peut aider, mais quelquefois il est nécessaire de faire une rencontre avec le client et cela devient plus difficile.

Le téléphone portable empêche de rêver. Dans Le portable, doudou envahissant des grands, (Martine Laronche, Le 5 septembre 2010), le portable empêche de rêver du fait qu’il occupe tous nos moments d’attente, nos moments de temps libre, on joue, on envoie des messages, on s’occupe au lieu de laisser place à notre imagination, à la rêverie. Dans Des jeunes avec leur portable (Innamorati/ Sintesi/ Sipa, 2010), les jeunes passent plus de temps sur leurs smartphone, ce qui ne laissent plus de temps au développement de leurs imagination.

Nous pouvons dire que le téléphone portable est un objet addictif, qui nous rend dépendants des autres, et délaisses les relations réelles au profit des virtuelles. Il ne laisse donc plus de place à la rêverie. Par conséquent, le doudou à plusieurs caractéristiques qui nous fait penser que le téléphone portable serait un doudou pour adultes.