Lettre de motivation

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En France la question ne se pose pas, une femme a le droit d’abandonner sont enfant juste après l’accouchement, L’enfant ainsi née, a l’âge de discernement, et avec l’autorisation de ses représentants légaux, peut avoir accès au informations laisser par les parents à la naissance.

5 Comparaison des documents.

Les boites à bébé se multiplient en Europe mais pourraient disparaitre en Allemagne, quels sont les droits de l’enfant et des femmes par rapport a cette pratique.

L’abandon des enfants au XVIe et XVIIe siècle, était en général causé par la misère et la famine dans laquelle se trouvaient les parents de l’époque. Comme nous décris le texte du collectif André Burguière rédigé par Armand Colin en 1986, le nombre d’enfants abandonnés croit brusquement à partir des années 1760, au point que dans la décennie de 1780-1789 l’hôpital de la couche à paris enregistre une année record d’abandons en 1772, qui équivaut a plus d’un tiers du total des baptêmes enregistres dans les paroisses de la capital. L’accroissement du nombre d’enfants abandonnes à partir de 1760, correspond donc à une évolution des motivations d’abandon. Les parents de milieu modeste et aisé, étaient provisoirement gêné et craignais ne pas pouvoir élever leurs enfants comme il le voulait et les abandonnaient dans l’idée qu’ils soient bien nourris et bien soignes, alors que la réalité était tout autre, l’espérance de vie de ces enfants était malheureusement faible.

Lorsqu’un enfant était déposé dans la tour de l’hôpital (c’est ainsi qu’était appelé l’endroit où était déposés les enfants), qui ressemble d’ailleurs beaucoup aux boites a bébé européennes de nos jours, les religieuses de service alertées lui donnaient les premiers soins avant qu’un officier de la santé vienne l’examiner pour déterminer son sexe et son Age.

Le droit des femmes et des enfants par rapport à l’abandon précise dans le texte rédiger par charlotte chabas, que tout enfant a dans la mesure du possible le droit de connaitre ses parents et d’être élevé par eux. Si un enfant est illégalement privé des éléments constitutifs de son identité ou de certains d’entre eux, les états parties doivent lui accorder une assistance et une protection appropries. Les boites à bébé sont un système controverser, d’un point de vue étique que légal, les défenseurs de cette pratique sont souvent les même qui militent contre l’avortement, et différents partis politiques et groupes religieux affirment que cela protège le droit d’un enfant a la vie et sauve des centaine de nourrissons. Les nations unis ne sont pas d’accord avec ce système car il viole le droit fondamentale d’un enfant a connaitre ces parents. En Allemagne les boites à bébé sont peu être amener à disparaitre pour laisser place à la loi voté le vendredi 7 juin, autorisant l’accouchement confidentiel, explique Camille le Tallec dans le texte la croix publier le 14 juin 2013. Si celle-ci est valider une femme pourra accoucher sous X à partir du 1 er mai 2014, son identité sera conserver par l’administration et Lenfant pourra à partir de 16 ans, demander à connaitre ses parents même si la fermeture des boites bebe n’est pas prévu dans l’immédiat. La nouvelle loi prend donc en compte le souhait d’anonymat de la mère et le droit de l’enfant a connaitre ses origines. En 2009, le comité allemand d’étique avait aussi sonner la sonnette d’alarme, confirme Camille le Tallec par rapport à Charlotte Chabas. En France la question ne se pose pas, une femme a en effet le droit d’accoucher sous X, ce qui permet d’abandonner son bébé juste après l’accouchement qui donne ainsi le droit a Lenfant lorsqu’il a atteint l’age de discernement, et avec l’accord de ses représentants légaux, d’avoir accès aux informations laissées par ses parents à la naissances, explique Charlotte Chabas dans Le monde le 14 juin 2012.

Parmi les pays européens concerne l’Allemagne a été la première a réintroduire le mécanisme en avril 2000, depuis dix autres pays européens l’ont adopter comme l’Italie la suisse ou encore la Pologne, nous cite Charlotte Chabas dans l’article Le Monde du 14 juin 2012. A ce jour plus d’une centaine de boites a bébé sont installées sur le continent ce que confirme Camille Le Tallec dans l’article La croix du 14 juin 2013.

Par rapport aux enfants déposés dans ces boites un chercheur de l’université de Nottingham Kevin Brown a étudié durant 2 années le phénomène cité dans Le Guardian, il affirme que ce sont fréquemment des hommes ou des proches qui abandonnent l’enfant, ce qui pose des questions sur la situation de la mère et sur son consentement par rapport à l’abandon. Le fait que l’abandon soit dans l’anonymat absolue empêche toute démarche d’accompagnement du parent et annihile toute chance pour l’enfant d’être élevé par d’autre membre de sa famille. Malgré des chiffres non officiels sur le nombre d’enfants abandonnées a la naissance, l’institut allemand pour la jeunesse en a recensé 973 entre 1999 et 2010 dont 652 à la suite d’un accouchement anonyme, 278 déposes dans des boites a bébé et 43 confiés à du personnel soignant nous explique Camille Le Tallec. 313 nouveau née ont été retrouvés morts en Allemagne entre 1999 et 2012. De nombreuses voix s’élèvent afin d’encadrer ces pratiques d’abandon. Tous les opérateurs ont leurs propres habitudes et les procédures de prise en charge des nouveaux nées peuvent varier, reconnait Regine Holscher Mulzer dans le texte de Camille Le Tallec. Certains organismes attendent huit semaines après la naissance d’un enfant, durée pendant laquelle aucune procédure d’adoption ne peut être engagée, ce qui laisse a la mère la possibilité de revenir sur ca décision, ce que nous confirme aussi Charotte Chabas dans Le Monde le 14 juin 2012.