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Les modalités du travail : Commentaire de texte philosophique

Par   •  1 Novembre 2018  •  1 341 Mots (6 Pages)  •  457 Vues

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C’est alors grâce à l’expérience et le temps de travail que cet homme a appris des nouvelles connaissances. Il est donc clair que le travail apprend à l’homme. « C’est la culture de l’esprit en général et aussi du langage ».

Hegel dit que le travail que l’homme effectue a une influence dans son entourage ce qui a son tour a une influence sur lui ce qui définit par la suite sa détermination. En effet, par le travail, l’on peut se sentir fier. Cette idée se confirme par les paroles du Grand Steven Johnson, un grand écrivain anglo-saxon, il affirme que nos idées modifient notre espace, c’est-à-dire comment nous concevons les choses dans notre esprits définit ce que nous ferons dans la vie réelle, dans le concret, il dit par la suite que cet espace conçu par l’homme modifient notre pensée, notre expérience subjective. « There Is a feedback Loop » disait-il, il Ya une boucle qui fait que ce que nous font nous fait en retour. Cette idées s’applique surtout dans les conditions idéalistes dictées par Hegel c’est-à-dire que dans des conditions parfaites, on a tendances a travaillée mieux et à donner le meilleur de nous-même. Cet effort se caractérise alors dans notre production concrète, qui produit alors une sensation de fierté de notre production.

Ainsi, le travail décrit dans ce texte est bénéfique pour l’homme car il le différencie de l’animal, de plus c’est grâce à cette activité que l’homme développe certaines habilitées. Le travail développe alors une estime en soi par rapport au travail effectue.

Comme il peut être éducatif et bénéfique, le travail peut également ne pas être bénéfique.

Le travail compte parmi les valeurs auxquelles les hommes y attachent une grande importance. Il n’en fut pourtant par toujours le cas. Il est considéré comme une souffrance, une torture par l’excès de travail. C’est au 17 et 18e siècles que la définition du travail change de nuance et est considéré comme un remède à l’oisiveté.

Le travail nous permet en outre de subvenir à nos besoins particularisé par des moyens particularisés. Cela implique que l’on travaille pour vivre et donc on vit pour travailler. Le travail nous enferme dans un cycle naturel de production/ consommation. Le travail ne se termine jamais car on produit pour vivre et donc arrêter de produire implique donc arrêter de vivre. C’est un cycle de production/consommation ou tout ce qui est produit est consomme et donc il faut en reproduire. Nous travaillons donc pour subvenir à des besoins qui ne finiront jamais, nous voulons nous habiller, nous nourrir, nous mettre à l’aise…. Nous sommes destinés à passer l’intégrité de notre vie à travailler. Mais où est donc la joie dans une vie remplie que de travail ? Le travail suffoque donc la vie humaine.

Ainsi, le travail a également un côté néfaste : il dévalorise l’homme et lui fait passer pour une machine, un outil qui travaille sans cesse.

On se demande enfin quelles sont les modalités du travail, c’est-à-dire la raison du travail puis les conditions de travail.

Le travail est une activité laborieuse par l’homme qui a pour objectif de lui permettre de subvenir à ses besoins premiers bien particularisé. On travaille donc pour vivre.

L’homme transforme la nature en la matière qui lui est nécessaire, l’homme « rencontre surtout des productions humaines » par des productions humaines. Certes ces productions se font par l’homme mais par dans des conditions diverses (L.9) et des outils (L.9) et surtout des procédés diverses dans le but de créer des objets pour soi et les autres. On ne travaille donc pas que pour soi mais également pour contribuer au bien commun.

Ainsi, nous pouvons voir les modalités simples du travail : produire soi-même pour soi-même et pour les autres par des procédés diverses et des outils différents pour chaque objectif.

En somme, on a vu que le travail développe une certaine culture qui est parfois nécessaire au fonctionnement optimale de celui-ci, il faut également des outils. Mais l’excès de travail, c’est de l’esclavage. L’excès de travail fait passer l’homme pour une machine qui doit travailler constamment.

L’auteur affirme que le travail favorise la culture, en effet cette thèse est confirmée par le fait qu’un travailleur dans une usine depuis 20 ans s’y connait mieux dans la production qu’un

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