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La vérité. A chacun sa vérité?

Par   •  19 Juin 2018  •  868 Mots (4 Pages)  •  786 Vues

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un disciple de Socrate). Einstein a fait un exemple de l’asymptote, c’est à dire que la verite que nous avons va toujours s’améliorer, mais restera toujours approximative, malgré le fait qu’elle se rapprochera de la vérité absolue. Il faut doute avoir un doute sceptique pour continuer à faire des avancées.

II) Le Platonisme:

Il y a une opposition entre Platon et Pyrrhon entre les deux écoles: comment Socrate a pu génère les deux?

Tout ce que je sais c’est que je ne sais rien. -> Socrate, la sagesse socratique est de nous faire comprendre que nous sommes ignorant. Cependant Platon intercepter cette phrase comme le point initial, il pense qu’ils sur commencer par douter. Pour Platon il cette phrase est une transition vu qu’il faut quitter l’ignorance ou on est pour basculer vers le savoir. Celui qui ne doute pas reste dans l’ignorance.

L’homme a une part rationnelle et une part sensible. (Sensible et raison) Cependant il y a une véritable opposition entre ces deux: la sensibilité est donc la considération de se qu’on désire véritablement, or dans cette vision la sensibilité est négative étant donné que cette dernière noirs empêche de voir la vérité.

Le savoir est une opinion vrai fondée en raison. Le fondationalisme s’oppose donc au scepticisme, vu qu’il dit que nous ne sommes pas voie aux doutes sceptiques, nous pouvons trouver la vérité totale.

III) Démonstration/ justification

Qu’est une bonne justification? Un raisonnement fonctionne sur des prémices (propositions), et puis sur une conclusion. Si il y a deux interlocuteurs, il faut qu’ils soient d’accords sur les prémices sinon ils auront une conclusion différente. Une démonstration pour être acceptable doit être partagée, car si les prémices ne sont pas acceptée, l’inférence sera sans pertinence. Donc l’argumentation dépend des prémices.

Pour qu’un raisonnement soit admis, il faut aussi que l’inférence soit bonne, il faut quelle ai un rapport avec les prémices.

L’efficacité d’une argumentation repose sur des prémices acceptables par autrui et qu’on face une inférence valide.

Or le philosophe ne va pas se limiter à ça, tout dépend de notre conception de la vérité pour définir l’acception des prémices. Le mouvement philosophique va être interroger ses prémices, en les explicitants. Les philosophes s’interrogent sur les fondements des prémices, en prenant en compte une régression à l’infinie.

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