Essays.club - Dissertations, travaux de recherche, examens, fiches de lecture, BAC, notes de recherche et mémoires
Recherche

Commentaire sur le texte de Sénèque

Par   •  19 Mai 2018  •  821 Mots (4 Pages)  •  749 Vues

Page 1 sur 4

...

« Ce n’est pas là un bonheur solide et pur » (ligne : 9-10). on ne peut pas se cacher à chaque fois derrière ce « mur » juste pour montrer que l’on est bien dans sa peau.

« C’est pourquoi, tant qu’il leur est permis de rester en place et de se montrer à leur gré, ils sont brillants et imposants ; dès qu’il leur arrive un accident qui les dérange et le découvre, on voit combien cet éclat étranger cachait de laideur profonde et réelle » (ligne 10-13). on a donc tendance à se cacher derrière cette barrière qui nous protège du regard des autres, mais dès qu’il se passe la moindre chose a l’intérieur, nos frontières éclatent, et notre médiocrité intérieure est livrée aux yeux de tous sans que nous puissions nous cacher.

De la ligne 13 jusqu’à la fin du texte, on nous parle de la manière dont ce malheur progresse et la manière dont le vaincre.

Selon le texte, ces biens sont permanents et fixes, plus on y pense plus elle grandira et qu’extérieurement on ne brille pas. Cela veut donc dire que nous devons être heureux à l’intérieur pour être REELLEMENT bien. Et pour être bien intérieurement nous ne devons plus penser à ce malheur afin qu’il ne grandisse pas.

Il y a aussi des choses horribles qui se passent mais c’est normal puisque la Nature n’a pas pas pu enlever de nos vies mais il y a toujours une justice, c’est à dire que nous sommes alors conçus à pouvoir faire face à ses malheurs. La solution est le courage.

Pour conclure nous avons vu que l’auteur décrit le malheur comme un faux bonheur donné par la Nature. Il n’y a pas d’injustice. Nous avons vu aussi ce qu’il y a à l’intérieur peut ressortir à tout moment et qu’ on ne peut pas constamment se cacher derrière mais qu’il ne faut plus y penser et le supporter avec courage.

...

Télécharger :   txt (4.9 Kb)   pdf (42.5 Kb)   docx (12.2 Kb)  
Voir 3 pages de plus »
Uniquement disponible sur Essays.club