Philosophie 1ère Littéraire - Qu'est-ce que penser ?
Par Orhan • 5 Novembre 2018 • 6 679 Mots (27 Pages) • 553 Vues
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Paradoxe :
- L’homme est un animal métaphysique et donc un philosophe-né.
- La philosophie nait en Grèce vers les 6e et 5ème siècle avant J.C
Même si nous sommes différents, nous sommes de la même nature, des faits universels nous rejoignent.
Problème :
Si l’homme est un « animal métaphysique » comment expliquer que la philosophie n’ait toujours pas existé et qu’elle ne se retrouve pas dans toutes les sociétés ? [pic 2]
Solution :
Pendant la plus grande partie de notre histoire ce furent les religions qui apportèrent les réponses à nos questions.
Les religions s’expriment à travers des grands récits, les mythes et ces derniers existent simplement pour répondre à nos questions. C’est une histoire qui réponds aux questions que nous sommes susceptible de nous poser. Pour les religieux il est donc compliqué de penser par sois même, puisque les mythes répondent à leurs interrogations et pensent que la vie se constituent de mythes.
2) La pensée mythique.
Le mythe est une histoire qui raconte la naissance du monde. Il n’y a pas de vie humaine sans régulation. [voir texte poly Mircéa Eliade, Aspect du mythe]
Le mythe est une histoire fausse mais essayant de faire passer des valeurs. Le mythe est créé par les dieux et les personnes suivent ces mythes en se disant que c’est de telle manière alors il faut accomplir. Et la descendance arrivera, les anciens vont perpétuer les mythes et la descendance se conformera à ces mythes.
Grande différence entre c’est la religion qui fonde la société et c’est la loi qui organise la société.
Hétéronomie : un autre qui produit la loi et les autres obéissent
Autonomie : les hommes qui créent les lois = liberté.
On doit respecter l’homme, l’organisation sociale, la nature, comme les cieux ont voulus que le monde soit ainsi, alors c’est sacré et nous devons par conséquent le respecter.
Le jeu n’est qu’un ensemble de règles de nuire faut il que les individus connaissent les règles pour les respecter.
Le mythe fabrique le consentement aux règles du jeu. Et comme tout le monde connaît le mythe alors tout le monde connaît la règle, par conséquent tout le monde va respecter la règle a partir de ce moment le jeu peu commencer et la société peut s’épanouir.
Si l’ordre est juste on respecte, si l’ordre est au contraire injuste alors on se rebelle, qui annonceras le chaos. Alors comment peut on former l’ordre du social :
La loi du plus fort (instable)
Fonder l’adhésion et contraindre l’adhésion (régime nazi par exemple)
Propagande Rapport de force [pic 3][pic 4]
Fétiche : fabriquer un objet et croire qu’il y a un esprit en son cœur.
Structure et fonction du mythe I
Fonction [pic 5][pic 6]
[pic 7][pic 8][pic 9][pic 10][pic 11][pic 12][pic 13][pic 14][pic 15][pic 16][pic 17][pic 18][pic 19]
1-expliquer
2-légitimer
« Cause » « Effet »
Passé immémorial Présent
« Temps des consentements » « ce dont nous faisons l’expérience »
Événements fondateurs : Le monde ( la nature) [pic 20]
(Naissance du monde, formation de groupe Le société (organisation)
Origine de la mort) La condition humaine
(Différence des sexes, mort etc...)
Personnages : dieux, premiers hommes, héros etc...
Structure et fonction du mythe II
Mythe
Récit traditionnel
Anonyme
Objet d’une croyance commune
Explique =A « [pic 21][pic 22][pic 23]
Membre du groupe Individu 1 Individu 2 Individu 3
Croyance =A =A =A
Effet Cohésion Sociale
Devant la loi nous sommes citoyens et donc tenue d’obéir à la loi, nous ne sommes pas considérés comme des religieux ou non.
- L’individu ayant obtenu des réponses à ses questions...l’étonnement disparait : « je sais » ,
- Or l’étonnement est le «père de la métaphysique »,
- Donc la « philosophie » ne peut pas exister.
- Le mythe véhicule des explications, des valeurs, etc. Qui sont intériorisées par l’ensemble des membres du groupe.
- La pensée qui s’exprime à travers le mythe devient donc le pensée des individus.
- Tous les individus partagent donc la même pensée.
Conscience collective et conscience individuelle
Durkheim : sociologue, père de la sociologie française.
Nous sommes tous différents mais nous partageons ont vie avec de nombreux autres personnes.
Notre vie est une vie sociale car nous vivons au sein d’une collectivité.
« L’ensemble des croyances et de sentiments communs à la moyenne des mètres d'une même société forme un système déterminée qui a sa vie propre : on peut l’appeler conscience collective ou commune »
Durkheim
- Dans
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