Conseils méthodologique pour la dissertation.
Par Andrea • 23 Mai 2018 • 1 185 Mots (5 Pages) • 660 Vues
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Souligner la nature de la solution proposée dans la synthèse
Conseil pour l'introduction :
Objectif : transformer la question en paradoxe faire réagir la tension qui orne le sujet
Deux manières de problématiser
- A partir de l'analyse des thermes du sujet, on met ces significations en contradiction avec des donnés de l'observation immédiate
- Pareriez de point de vue de l'opinion, thèse de l'opinion en contradiction avec un point de vue philosophique
Orienté pour la rédaction de l’intro
Flaubert dans un roman « Bouvard et Pécuchet » procède à la critique du désir sans frein de connaissance, les deux personnages du roman se promène dans les différentes disciplines, en entassant les erreurs et les déconvenues, la leçon aux on peut tirer de ce roman c'est que pour penser il ne fait pas s'en tenir aux idées reçues il fait penser par soit même avoir un certain discernement.
Or ce conseil de Flaubert semble remis en question par un disciple de Socrate Xénophon qui écrivait : « on ne peut bien penser qu'avec autrui », doit-on en conclure à l'impossibilité d'une penser autonome.
Le problème ici c'est celui du statut de la pensé commune, la pensée des autres constitue-t-elle un obstacle ou et elle une condition de possibilité de ma propre pensée ? Pensé pars moi-même est se penser sans les autres ? Ne pense t ont pas toujours avec les autres ? Comment peut-on penser avec les autres tout en restant soi-même ?
- Thèse de l'opinion, penser par son même c'est penser par soi même
- Présentation de la thèse
Penser cela renvoie à toute les activités de l'esprit et aussi bien rêver qu’imaginer concevoir ou encore sentir en ce sens la penser est indépendante, elle peut s'exercer sans référence à quoi que ce soit nous n'avons pas besoin des autres, il suffirait de ce laissais aller pour penser ...
- Justification sur des arguments
Cette conception de la penser nous l'avons déjà rencontré chez le sage stoïciens puisqu’ il s'agissait pour lui d'avoir la force d'âme nécessaire pour distinguer ce qu'il dépend de lui de ce qui n'en dépend pas, penser la mort c'est savoir que la mort est un phénomène physique à l’elle dépend pas de soi et donc que nous devons être indifférent à cet événement. La pensé ce défini par cette capacité d'indifférence...
- Objection
Si penser par soi-même c'est être indifférent si c'est penser tout seul non seulement c'est facile mais nous le faisons tous les jours la plupart du temps nous pensons à nous et pour nous avant que de penser aux conséquences de nos choix et notre comportement envers les autres. Si penser par soi-même c'est penser sans les autres si c'est facile alors on ne comprend plus le sens du sujet. Si c'est une exigence cela signifie que nous ne le faisons pas spontanément...
Transition : il est donc nécessaire de faire des efforts pour penser par soi-même mais cela ne signifie pas que ce soit impossible
- Antithèse
- Redéfinition des termes et présentation de l'antithèse
La pensée est toujours liée à un contexte communautaire nous pensons dans le groupes grâce aux groupes, penser c'est avant tout réfléchir, une pensée authentique engage nécessairement l'action, en ce sens la pensée va bien au-delà du rêve, une pensée authentique engage le groupe. L'existence d'une pensée commune est absolument indispensable à la survie du groupe
- Justification des arguments
Rousseau dans le discours des origines des inégalités explique que la réflexion n'est pas naturelle elle n'apparaît que dans un contexte social dans ce texte il distingue l'état de nature et l'état social. Dans l'état de nature = état de paix l'homme est bon par nature il ne parle pas il ne réfléchit pas la raison est bien présente en lui mais seulement à titre de virtualité.
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