La réthorique.

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L’allégorie : représentation concrète d’une idée abstraite.

L’analogie : ressemblance entre deux choses, deux idées différentes établie par l’imagination

L’allusion : manière d’évoquer une personne ou une chose sans la nommer.

Mais aussi par des arguments tels que :

Les arguments logiques (« je suis plus gros donc j’ai plus besoin de manger que toi »)

Les arguments empiriques, fondés sur l’expérience (« le ciel est gris donc il va pleuvoir »)

Les arguments visant à manipuler (très utilisés par les sophistes - par exemple un paralogisme, raisonnement faux mais convaincant : « tous les hommes sont mortels ; un chien n’est pas un homme ; donc un chien n’est pas mortel »)

Par différents types d’éloquences tels que :

Le discours judiciaire : Quand on défend une cause : la plaidoirie. Ou lorsqu’on attaque quelqu’un : le réquisitoire

Le discours délibératif : on amène une personne à prendre une décision et à agir. On pèse le pour et le contre, on évoque tous les arguments possibles et à la fin on aboutit à une opinion éclairée.

Le discours épidictique : l’éloge ou le blâme. (Un portait élogieux ou satirique d’une personne).

Par registres d’argumentation :

L’ironie et le satirique

Le registre pathétique

Le polémique (à la limite de l’argumentation)

Ou par la construction du discours argumentatif :

(On retrouve entre autres ce type de discours au théâtre dans certaines tirades, les stances du Cid de Corneille par exemple.)

Exorde : une introduction

Narration : on raconte les faits

Confirmation : on réaffirme son opinion et on donne ses arguments

Réfutation : on réfute les arguments de la partie adverse

Péroraison : la conclusion du discours argumentatif